🎭 C Est L Histoire D Un Mec Texte

Cest l'histoire d'un Mec mon histoire Ă  moi L'ours du Forez 63 L'histoire d'un mec d'un vieille Ours du Forez un peu dĂ©sabusĂ© mais attention oui pas dĂ©pressif voici sans tricher sans frime, sans artifices, ma vie actuelle rĂ©sumĂ©e ici Oh ça fera fuir les arrivistes, les vĂ©nales et calculatrices et c’est que tant mieux, mĂȘme voulu d’ailleurs, je

Vous la connaissez, non ? Non dĂźtes le parce quand les gens la connaissent aprĂšs on Ă  l'air d'un con, alors. Parce qu'y a les... non ! Par exemple heu y'a les histoires heu, alors le mec par exemple heu, par exemple alors y... non, c'est un exemple. Ou alors heu... par exemple parce que si vous voulez y'a des fois c'est l'histoire d'un mec comme ça qui.... un mec tout ça heu... mais lĂ  non. Non, lĂ  c'est... l'histoire d'un mec. Mais un mec heu, pas.... non, je un... normal quoi, j'veux dire... un blanc quoi, j'veux dire. Ah non, parce que si vous voulez y'a des mecs, moi je... parce bon... ça depend des mecs. Si vous voulez parce que par exemple heu parce que dans les histoires t'as 2 genres de mecs. Ben ouais. Alors par exemple genre le mec heu "oui heu, moi heu, oui heu, tout ça heu, oui heu, tout ça le mec heu oui heu tout ça", le mec. Et puis y'a les mecs "non, moi non heu... non non, non non" le mec, le mec y dit "non, ben non heu". Alors on leur dit - Mais y'a des fois on est obligĂ©s ! - Non, non LĂ  c'est plutĂŽt un mec heu non, le mec. Mais normal hein j'veux dire, pas... un juif. Ah non parce que non si vous voulez non parce que par exemple parce que y'a 2 genres d'histoires aussi. Parce que y'a les histoires par exemple oĂč c'est plus rigolo quand c'est un juif. Si on est pas juif hein. Ah ben oui faut un minimum. Et puis par exemple t'as les histoires c'est plus rigolo quand c'est un Belge. Si, si on est Suisse. Et puis le contraire, si c'est un Suisse quand on est Belge. Parce que les Belges et les Suisses c'est les 2 seuls qui se rendent pas compte qu'en fait c'est pareil. Mais c'est normal hein, c'est Ă  cause de la distance qui les sĂ©pare, alors ils se disent "tu parles, c'est sĂ»rement pas pareil" les mecs ils se disent ça, t'sais les mecs, mais ils se gourrent heu... Non, admettons par exemple on rencontre un... vrai con en Suisse... c'est un belge. Mais dans l'ensemble ça valait pas l'coup de faire 2 pays rien que pour ça hein. Ils auraient pĂ»t se dĂ©merder hein. Enfin moi je dis ça je m'en fous hein, je suis ni Belge, ni Suisse, ni juif alors... je suis normal. Alors heu... alors lĂ  le mec heu normal aussi. Alors le mec... attends parce que vous allez vous fendre la gueule aprĂšs. Non, non, j'vous dirais, j'vous dirais. Alors heu... Mais si on prĂ©fĂšre que ce soit un Suisse j'm'en fous hein. Ah moi j'veux pas m'engueuler avec les gens hein. Non, y'a quand mĂȘme moins d'Ă©trangers que de racistes en France hein. Non j'veux dire si j'ai l'choix j'aime autant m'engueuler avec les moins nombreux quoi. Bon alors un Suisse, oh la la, pfeuu, j'men fous moi. Mais en tous cas c'est pas un noir le mec. D'abord parce qu'il y a pas de raisons que ça soient toujours les mĂȘmes qui dĂ©rouillent. Et puis deuxiĂšmement si c'est un noir c'est facile. Un noir. Non parce qu'un Belge et un Suisse on peut s'gourrer mais un noir... On les appelle comme ça exprĂšs nous d'ailleurs. Ouais mais ils le font pas mĂ©chament la plupart. Non parce qu'on dit heu par exemple parce que nous on est, si vous voulez quand, parce qu'on, par exemple j'veux dire on, mais... tout petits dĂ©jĂ . Et des fois mĂȘme leurs parents. Ouais pas tous m'enfin la plupart quand mĂȘme. Alors lĂ  le mec heu, non lĂ , normal, le mec. Ah ouais parce que non, si vous voulez parce que non, parce que c'est l'histoire d'un mec bon d'accord, si on veut, mais c'est l'histoire d'un mec qu'est sur l'pont d'l'Alma le mec. Et c'est l'histoire d'un mec qu'est sur l'pont d'l'Alma bon d'accord, si on veut, mais c'est l'histoire d'un mec qu'est sur l'pont d'l'Alma et qui regarde dans l'eau, le mec. Pas con le mec hein. Ah ouais parce que moi j'l'croyais pas ben j'ai Ă©tĂ© voir et ben c'est vrai hein. Les mecs sur l'pont d'l'Alma y regardent mĂȘme pas dans l'eau hein. Les mecs y passent tous les jours heu sur l'pont d'l'Alma hein et ben... y'aurais pas d'eau dessous, passeraient quand mĂȘme. C'est con parce que nous on passe sur les ponts Ă  cause qu'y a d'l'eau dessous hein. On irait pas faire un dĂ©tour hein tu parles. Alors les mecs y disent "ah ben on sait pas oĂč passe notre pognon" ils regardent pas alors. Alors le mec y regarde tout ça puis ça l'interresse tout ça, bon. Alors au bout d'une demie heure, ouais parce que normalement l'histoire ça dure une demie heure mais moi j'abrĂšge. Alors au bout d'une demie heure y'a un autre mec qu'arrive, normal aussi hein le mec, blanc. Il arrive et alors qu'est ce qu'il voit, il voit un mec qu'est lĂ  depuis une demie heure dis donc et qui regarde dans l'eau le mec hĂ© ! Parce que lui lĂ , j'veux dire le mec, bon... bon, et... l'autre si vous voulez parce que... maintenant y'a 2 mecs. Non prenez des notes hein parce que j'vais pas rĂ©pĂ©ter hein. Alors il s'approche et puis il dit "heu dites donc heu ouais..." le mec comme ça t'sais, comme ça "et qu'est ce que vous faites a regarder dans l'eau y lui dit" le mec, au Suisse. Alors l'autre y dit "ah ben j'suis emmerdĂ© parce que j'ai laissais tomber mes lunettes dans la Loire." Parce que le pont d'l'Alma c'est sur la Seine. Ah ça si on sait pas on comprend que dalle hein. Ouais, ouais, Ă  c't'endroit lĂ  c'est la Seine. Alors, justement parce que c'est pour ça qu'elle est rigolote l'histoire en fait. Alors heu, alors le mec, alors parce que l'autre y dit "j'ai laissĂ© tomber mes lunettes dans la..." faut quand mĂȘme pas prendre les Suisses que pour des cons. Non, y'a des belges dans l'tas. Alors, alors le mec, parce que quand mĂȘme y dit "j'ai laissĂ© tomber mes lunettes..." alors l'autre y dit "eh oh hĂ© ! ouah" il lui dit comme ça t'sais, comme ça t'sais, comme ça t'sais "eh c'est pas la Loire c'est la Seine hĂ© !" Elle est rigolote hein ? Non mais elle est pas finite lĂ . Ouais, ouais, parce que dĂ©jĂ  lĂ  elle est marrante mais aprĂšs... attends, attends, attends, alors le mec parce que l'autre y dit "c'est pas la Loire c'est la Seine" bon tout ça, il est con. Alors, attends, alors l'autre il lui dit "oh ben vous savez moi sans mes lunettes !" Elle est rigolote hein ?

C'est l'histoire d'un mec qui est dans un rocher", "C'est l'histoire d'un mec qui couve des oeufs", "C'est l'histoire d'un mec qui pousse un cylindre dans la montagne" — si les performances d'Abraham Poincheval pourraient aisĂ©ment se raconter comme des blagues de comptoir, elles s'en diffĂ©rencient cependant sur un point crucial : l'absence de chute.

Aller au contenu Blagues Blagues Ă  thĂšmes Melon et MelĂšche Monsieur et madame Blagues animaux Blagues chiens Blagues Ă©lĂ©phants Blagues insectes Blagues oiseaux Blagues blondes Blagues couples Blagues belles-mĂšres Blagues divorce Blagues drague Blagues femmes Blagues hommes Blagues infidĂ©litĂ© Blagues mariage Blagues de Toto Blagues diverses Blagues absurdes Blagues alcool Blagues cĂ©lĂ©britĂ©s Blagues mort Blagues pĂȘche Blagues Ă©cole Blagues enfants Blagues justice Blagues avocats Blagues police Blagues mĂ©tiers Blagues cinĂ©ma Blagues coiffeurs Blagues commerce Blagues fonctionnaires Blagues informatique Blagues militaires Blagues paysans Blagues pompiers Blagues nationalitĂ©s Blagues Afrique Blagues belges Blagues corses Blagues Ă©cossais Blagues juifs Blagues politique Blagues religion Blagues santĂ© Blagues dentistes Blagues fous Blagues hĂŽpitaux Blagues mĂ©decins Blagues sexe Jeux de mots Charades Citations Citations animaux Citations diverses Citations femmes Citations hommes Citations justice Citations mariage Citations mĂ©tiers Citations police Citations politique Citations religions Citations sport Citations santĂ© Combles ContrepĂšteries Devinettes Devinettes absurdes Devinettes ampoules Devinettes animaux Devinettes blondes Devinettes cĂ©lĂ©britĂ©s Devinettes diverses Devinettes femmes Devinettes hommes Devinettes gores Devinettes justice Devinettes mĂ©tiers Devinettes nationalitĂ©s Devinettes politique Devinettes religions Devinettes santĂ© Devinettes sexe Devinettes sport Devinettes technologies La science-delire Le dictionnaire fou Ne dites pas dites Philosophie Proverbes et dictons Questions existentielles Les perles Perles de la justice Perles des douanes Perles des faits divers Perles de la police Perles des tribunaux Perles de la politique Perles de la santĂ© Perles de l’Assurance Maladie Perles des hĂŽpitaux Perles de la mĂ©decine Perles des pharmacies Perles de l’école Perles des Ă©lĂšves Perles des parents Perles des professeurs Perles du Bac Perles diverses Perles de la drague Perles des cĂ©lĂ©britĂ©s Perles des Ă©pitaphes Perles des militaires Perles des rĂ©seaux sociaux Perles des touristes Perles du sport Perles du travail Perles de l’aviation Perles de l’informatique Perles de Renault Assistance Perles des administrations Perles des locataires Perles des assurances Perles des enfants Perles des impĂŽts Perles des journalistes Perles des petites annonces Les actus L’actu de Galy L’actu de Glez L’actu de Glon L’actu de Jerc L’actu de Karim L’actu de Miss Lilou L’actu de Mykolas L’actu de Sanaga L’actu de ZaĂŻtchick L’actu de Zap Ratpsodies RĂ©flexion de rat Bonus Commando Blitz Le Brigadier Illustrations de Nicolas Le beaucoup meilleur du net Les illustrateurs Les vilains petits crobards Little cat’s chronicles Pamphlets PoĂ©sies SaletĂ© de confinement ! SpĂ©cialement nous Un mec Une nana Accueilblague sur c’est l’histoire d’un mec En cliquant sur ”J’accepte”, vous acceptez l’utilisation des cookies.

Sujet c'est l'histoire d'un mec Mar Sep 30, 2008 3:47 am: RÚglement #5.5 _____ IAPS Board Representative: Filip Administrateur Age: 54 Inscrit le: 30 Déc 2007 Messages: 1015 Localisation: Loire Atlantique(44)

NB voici une premiĂšre Ă©bauche de mon texte... parce que j'ai honte de ne pas vous proposer grand chose Ă  lire en ce moment j'avoue ! C'est pas de ma faute, je passe mon temps sur MSN avec quelqu'un ! C'est de sa faute Ă  ELLE !!! NB 2 Ă©videmment ce texte est totalement second degrĂ©... ne le prenez donc pas trop au sĂ©rieux par pitiĂ© !!! J'Ă©crirai la suite dĂšs que j'ai le courage !!! Bienvenue Mesdames et Mesdemoiselles Ă  notre premiĂšre journĂ©e de formation Ce qui fait craquer le mec de base ». Attention, je vous rappelle que ce cours est rĂ©servĂ© aux filles qui ne cherchent pas le grand amour mais plutĂŽt Ă  se sortir un mec par ci par lĂ  » plus facilement qu’aujourd’hui et Ă  le garder comme joujou » plus ou moins longtemps
 en clair aux filles qui veulent jouer comme les mecs
 Pour la leçon sur Trouver le grand amour et le garder Ă  vie » appelez nos services afin de prendre un rendez-vous d’inscription avec l’une de nos hĂŽtesses qui vous fera remplir notre dossier de 345 pages en 4 exemplaires et prendra votre chĂšque de 15440 euros ainsi que votre RIB pour les 5 virements du montant secret Ă  venir
 Ce cours n’est pas non plus conseillĂ© aux filles qui sont prĂȘtes Ă  tout pour coucher
 Elles n’ont pas besoin d’aide
 car soyons honnĂȘte on pourrait rĂ©sumer en disant Si on y va franco on peut coucher le premier soir sans problĂšme avec 80 % des mecs »  suffit d’aller Ă  la Scala chercher du militaire en permission quoi
 Non, si vous ĂȘtes ici c’est que vous n’ĂȘtes pas une nympho, sinon vous ne seriez pas Ă  ce cours mais dans un club libertin, mais une fille qui aime les hommes avec un physique avenant et prometteur et une cervelle un peu remplie mais pas trop non plus
 c’est Ă©galement que vous en avez marre que rien ne marche alors que vous ĂȘtes vous-mĂȘme, une charmante jeune femme honnĂȘte et franche brrrr
 ça me donne des frissons dans le dos
 Le but n’est pas de faire de vous une salope » en puissance mais juste une charmeuse charmante qui assume et assure »  Durant ce cours accĂ©lĂ©rĂ©, nous allons vous expliquer ce qui fait marcher un homme basique
 Sachez tout d’abord que si vous ĂȘtes lĂ  c’est vraiment que vous vous dĂ©brouillez comme des manches parce qu’un mec c’est franchement pas compliquĂ© Ă  faire craquer ! Si, si je vous assure ! Un homme est totalement incomprĂ©hensible quand il s’agit d’amour, de sentiments, de relations de couple
 mais quand il s’agit de le draguer, de le faire craquer, c’est super binaire ! Un homme fonctionne principalement, mĂȘme s’ils s’en dĂ©fendent plus ou moins, avec les envies, les fantasmes, le sexe
 le cerveau sert Ă  analyser vaguement la situation mais n’est pas le principal moteur de son attirance ! Introduction Tout d’abord que l’on soit bien clair vous ĂȘtes une FEMME !!! Vous n’ĂȘtes pas lĂ  pour avoir le mĂȘme rĂŽle que l’homme, ni pour lui ĂȘtre supĂ©rieur ! Rangez votre bible du fĂ©minisme, oubliez vos prĂ©jugĂ©s sur la femme objet ! Ne retenez que le meilleur vous allez vous faire chouchouter et profitez de ce qu’il y a de bon dans le fait d’ĂȘtre le sexe faible » ! Être une femme forte et indĂ©pendante c’est super
 pour rester cĂ©lib’ !!! Alors ne gardez que le bon cotĂ© de l’indĂ©pendante » qu’il comprenne rapidement que vous ne le ferez pas chier parce que vous avez votre appart et pour le reste appelez le au secours » si votre tringle Ă  rideau se dĂ©croche MÊME si vous avez dĂ©jĂ  Ă  la maison deux perçeuses visseuses deviseuses » que vous maniez comme une pro ! Le physique Tout d’abord, sachez que si vous voulez faire craquer un mec il va falloir travailler votre physique un minimum ! Je ne dis pas que vous devez ĂȘtre une bombe style classe mannequin » mais quand mĂȘme y’a des limites ! J’en vois au fond de la classe qui font des grimaces lĂ  !!! Mais attendez, est-ce que GĂ©rard, le petit obĂšse Ă  boutons qui vous a accueilli Ă  l’entrĂ©e de ce cours, vous donne envie de passer une nuit torride ? Non ! D’en savoir plus sur lui ? Non plus ! Allez soyez honnĂȘtes !!! Alors Ă©videmment vous devrez faire avec votre physique qui n’est pas forcĂ©ment le plus avantageux
 toutefois si vous apprenez Ă  vous mettre en valeur, si vous portez des tenues qui vous correspondent bien, une jolie coiffure, vous pourrez amĂ©liorer sensiblement vos chances ! Pour plus d’infos, reportez vous Ă  Nouveau Look pour une nouvelle vie » sur M6
 Le sexe Premier conseil, qu’on soit dĂ©barrassĂ© rapidement du sujet, vous allez devoir parler de sexe assez rapidement avec l’homme qui vous intĂ©resse. MĂȘme si ce n’est pas trop votre truc euh d’ailleurs dans ce cas que faites vous dans ce cours ? il doit sentir en vous le potentiel »  c’est trĂšs important qu’il puisse rĂȘver de vous le soir en se... en s’endormant ! Alors Ă  vous de placer ça dans des conversations anodines, tranquillement mais clairement ! N’en faites pas non plus des tonnes sinon il pourrait prendre de l’assurance et passer en mode gros lourd ils adorent ça ! ! Attention tout de mĂȘme en terme de dial sexe » Ă  ne pas parler de vos ex car l’homme n’aime pas trop la compĂ©tition de ce cotĂ© lĂ . Si par mĂ©garde vous parlez quand mĂȘme de vos ex, une seule solution pour vous en sortir casser plein de sucre sur leur dos ce n’était pas des bons coups, vous ĂȘtes super frustrĂ©e et passez vite le sujet ! Toucher pour sĂ©duire Pour faire comprendre Ă  un homme que vous ĂȘtes une bombe Ă  retardement qui ne demande qu’à lui appartenir, touchez le de temps en temps ! Un truc qui marche Ă©normĂ©ment et qui ne demande pas beaucoup de courage c’est le toucher au moment de la bise
 il suffit de lui prendre le bras et de lui faire la bise et hop vous lancez dĂ©jĂ  un indice dans sa tĂȘte de perv
 d’homme ! En tout les cas, il faut lancer des signaux clairs car les hommes d’aujourd’hui ne savent plus sur quel pied danser avec la plupart des femmes
 il faut donc les rassurer les petits chĂ©ris
 mais n’en faites pas trop parce que sinon il pourrait penser que vous ĂȘtes dĂ©jĂ  conquises et ça l’amuserait bien moins
 C’est compliquĂ© ? Je sais, je sais
 bon c’est simple imaginez que vous ĂȘtes un jouet qu’on remue devant un chat
 vous devez ĂȘtre toujours Ă  portĂ©e de pattes mais ne jamais vous faire attraper trop facilement sous peine de lasser la bĂȘte ! L’originalitĂ© Vous allez ĂȘtre en compĂ©tition avec d’autres filles qui lui tournent autour parfois
 Si vous ĂȘtes une parmi tant d’autres ce n’est pas la peine d’espĂ©rer ! Il faut vous dĂ©marquer ! Un peu d’originalitĂ© physique fera de vous celle dont il a plus envie que les autres ou au moins dont il se rappellera
 Je vous passerai le cĂ©lĂšbre effet du piercing dans la langue pour pas mal de mecs ! 
 vous n’ĂȘtes peut ĂȘtre pas prĂȘte Ă  ça
 et pourtant
 Dans les petites choses qui peuvent vous dĂ©marquer des autres on notera donc - le petit maquillage spĂ©cifique la larme dessinĂ©e au crayon ou avec une petite perle collĂ©e un soir sur le coin de l’Ɠil ou encore le maquillage Ă  la Camille »  etc. - un vĂȘtement attrap’ fantasmes » le bandeau noir serrĂ© autour du coup, la bretelle de dĂ©colletĂ© qui tombe parfois Ă  utiliser avec prĂ©caution, le petit badge I love Boys » Ă  l’extrĂȘme limite
 etc. Alors attention
 originalitĂ© ce n’est pas non plus passer pour une chaudasse »  on oublie donc le string qui dĂ©passe du jeans et autres joyeusetĂ©s ! Un peu de sĂ©rieux ! L’écoute Les hommes aiment qu’on les Ă©coute
 une amie professionnelle de la drague disait pour rĂ©sumĂ© Si on les comprend sans forcĂ©ment qu’ils aient quelque chose Ă  dire c’est gagnĂ© ». Il faudra donc l’écouter
 Je pense que ça suffit comme rĂ©sumĂ© ! La parole Toutefois, attention ! L’écouter c’est bien mais vous allez devoir aussi parler parfois pour rĂ©agir Ă  ce qu’il dit et ne pas vous endormir. Dans ce cas voici mes conseils Ne rien lui reprocher ! Surtout ne rentrer pas en conflit avec lui ou alors pour des broutilles histoire de prouver que vous avez quand mĂȘme un minimum de caractĂšre ah tu aimes les olives noires ? Quelle horreur moi ça m’écƓure ! Par contre j’adore les vertes ! ». Ne rien critiquer ! Il a adorĂ© Jean Claude Vandamme contre Rocky VII » ? Pas de soucis ! Ne le critiquez pas mais Ă©mettez plutĂŽt un avis pondĂ©rĂ© ah ? moi je ne suis pas trop film d’action mais ça doit ĂȘtre sympa pour se dĂ©tendre l’esprit ! » IntĂ©ressez-vous ! Posez-lui quelques questions sans trop la saouler non plus
 juste de quoi montrer que vous vous intĂ©resser Ă  lui, qu’il a votre attention
 Vous allez devoir parler Ă  un moment oĂč Ă  un autre
 forcĂ©ment
 Dans ce cas, ne soyez pas honnĂȘte je vous en prie !!! Ne parlez pas de votre maman qui vous apporte Ă  manger tous les soirs et vous appelle 4 fois par jour, ni de votre derniĂšre crise d’angoisse ! Vous devez ĂȘtre une fille Ă©quilibrĂ©e, jolie, sans soucis
 une perle ! Les seules confidences que vous devez vous autoriser avec lui sont des choses anodines, mignonnes, touchantes
 limite qui pousse aux fantasmes. Exemple ? Je dois t’avouer que tous les soirs je dors avec mon ours en peluche ! 
 mais bon c’est parce que je suis cĂ©libataire hihihihi rire de pĂ©tasse Ă  travailler devant votre glace » N’annoncez aucun de vos dĂ©fauts pendant vos premiĂšres conversations ! Le feriez-vous devant un recruteur ? Non ! Et s’il vous demande, prĂ©voyez des dĂ©fauts super sexy ou attirant je suis une vraie gourmande » Ă  n’utiliser que si vous ĂȘtes mince, je suis nulle aux jeux vidĂ©o mais j’adore y jouer » histoire qu’il n’ait pas peur de se prendre une branlĂ©e Si vous avez de l’humour placez en un peu
 le faire rire donne des points en plus
 mais attention ne soyez pas non plus la comique de service ! Le rire c’est bon pour les hommes mais en abuser tuerait votre image de fantasme sexy ! De mĂȘme, si vous ĂȘtes intelligente ne le dĂ©ballez pas trop
 juste assez pour montrer que vous savez compter, Ă©crire, lire des livres sans image ! AprĂšs, Ă  vous de vous adapter Ă  l’homme en face de vous
 selon sa culture gĂ©nĂ©rale
 Attention voici un point trĂšs important vous devez impĂ©rativement Ă©viter de parler de vos projets de futur avec un homme !!! Enfant, mariage
 nada ! A moins qu’il ne lance expressĂ©ment le sujet vous devez ĂȘtre une fille qui prend la vie comme elle vient » ! L’homme a peur des projets, de l’avenir, vous ne devez pas l’effrayer ! Il ne doit pas se dire bon si je sors avec elle c’est pour du sĂ©rieux » mais oh quelle aventure cette fille ! ». De toutes façons, nous ne sommes pas dupes, Ă  ce niveau de la conversation ça ne sert Ă  rien de parler d’enfants et de mariage
 vous ne savez mĂȘme pas si c’est un bon coup ! Et il dira ce que vous voulez entendre
 Alors j’en vois qui pensent dĂ©jĂ  Ă  quitter la salle en s’écriant que ce cours est du vol et qu’il vous apprends juste Ă  passer pour une quiche
 eh bien tout d’abord je vous rappelle que ce cours est gratuit et puis que
 en effet
 il est question de vous faire passer pour une quiche !!! Mais une quiche appĂ©tissante ! La rencontre au restaurant Le principe de l’addition est simple ne payez surtout pas !!! Alors lĂ  j’en entends dĂ©jĂ  me parler du dernier goujat qui a voulu partager l’addition
 excusez moi mesdames mais vous avez du merder quelque part car il est trĂšs facile de faire payer l’addition Ă  un homme
 1. ne demandez bien Ă©videmment pas l’addition 2. ne regardez pas l’addition quand elle arrive 3. ne sortez pas votre portefeuille mĂȘme pour ĂȘtre polie !!! 4. si vous voyez qu’il hĂ©site lancez une petite phrase sans rapport avec l’addition du genre Oh dĂ©jĂ  22h
 ça te dit qu’on aille boire un verre ailleurs ? » pour le pousser Ă  prendre une dĂ©cision intelligente sortir sa CB ! Quand il aura payĂ© et s’il vous a fait bonne impression c’est LE moment d’agir efficacement grĂące Ă  une phrase du type Oh c’est gentil
 Ă©coute la prochaine fois je t’invite
 et tiens je fais mĂȘme le dĂźner ! » Hop vous placez un futur rendez-vous, un lieu, et l’économie d’un resto !!! 
 ainsi qu’un message j’ai passĂ© un bon moment avec toi, j’ai envie de te revoir dans un cadre plus intime » La rencontre chez vous Alors lĂ  mesdames un effort par pitiĂ© !!! Vous n’ĂȘtes pas toutes ValĂ©rie Dubrouchu de DĂ©co mais quand mĂȘme !!! Soignez votre cadre ! Votre proie doit se sentir bien, Ă  l’aise, en sĂ©curitĂ©, dans l’intimitĂ© d’un lieu chaleureux qui vous appartient et qui comme vous est extrĂȘmement charmant ! On enlĂšve les trucs qui sĂšchent, on cache les photos des ex, on limite les peluches sur le lit, on Ă©limine les trucs super sexe comme la boite de tampons qui traine sur le lavabo
 On met des bougies, de la lumiĂšre tamisĂ©, des couleurs chaudes, de l’encens et tous les trucs de filles que vous pourrez trouver
 On optimise son intĂ©rieur ! Pour la table, faites lui comprendre que c’est un diner qui peut lui permettre de concrĂ©tiser si ce n’est pas dĂ©jĂ  le cas sans faire trop couple non plus
 Exemple ok pour le photophore sympa mais non Ă  la chandelle ! Pour la musique, ne sortez pas votre album de Jean Jacques Goldman prĂ©fĂ©rĂ© pour tout le repas, ni les tambours du Bronx ! PrĂ©fĂ©rez une petite compile de musiques douces et agrĂ©able Ă  la The sea » de Morcheeba
 ou des voix fĂ©minines chaudes et sensuelles
 tiens pourquoi pas Keren Ann et son album Not going anywhere » Message perso Coucou Meiry si tu es dans la salle ! PrĂ©voyez de l’alcool mais ne buvez pas trop ! Vous devez rester maĂźtresse de la situation ! Vous ĂȘtes chez vous certes mais pas question d’aller vomir dans les toilettes ! Avoir des nouvelles ou lui en donner Bon maintenant qu’il a mordu Ă  l’hameçon il vous manque ? Vous avez envie de le revoir vite ? Calmez-vous !!! Je sais que c’est dur mais il faut apprendre Ă  gĂ©rer l’absence
 et si VRAIMENT vous craquez, trouvez une excuse en bĂ©ton armĂ© pour lui envoyer un texto exemple Je passais Ă  la Fnac, le nouvel album de Johnny Raliday que tu m’as dis adorĂ© est sorti
 tu l’as dĂ©jĂ  achetĂ© ? » Pour le revoir vous devez trouver des excuses
 ne jamais le revoir sans une raison, un trip Ă  rĂ©aliser, un rendez-vous prĂ©cis
 Les messages genre Coucou c’est moi Lucie tu te rappelles ? Comment vas-tu ? » on Ă©vite comme la peste ! Attention Ă  ne pas redevenir une fille ! Si ça dur un peu, vous allez surement avoir quelques soucis parfois car vous allez vous attacher encore et encore
 vous n’y pouvez rien vous ĂȘtes une fille ! MĂ©fiez-vous tout de mĂȘme ! Ne redevenez pas d’un coup vous-mĂȘme pour ne pas le faire fuir ! Prenez votre temps ! De toutes façons Ă  partir de lĂ  je ne garantie plus votre relation
 trop de cas Ă  gĂ©rer !
Pourécrire un sms rigolo à un mec, voici 5 idées de texte rigolos pour draguer un homme : L'homme aime peu et souvent. La femme beaucoup et rarement. Un homme tombe amoureux à travers ses yeux, une femme à travers ses oreilles. Ce n'est pas parce que l'homme a soif d'amour qu'il doit se jeter sur la premiÚre gourde ! Si tu m'aimes tape 1
Mis Ă  jour le 20 octobre 2021 Ă  19h53 Ecouter son instinct, coucher avec un inconnu sans se poser de question, Martine ne savait pas faire. Pourtant, croyant sĂ©duire son mari, elle s’est lancĂ©e l’aventure Ă  corps perdu. Par Jessica Rover Follement Rock’n’roll Édith avait un truc gĂ©nial, mais elle l’a perdu. Elle est mĂȘme devenue carrĂ©ment ennuyeuse ! » a lĂąchĂ© Christophe, mon mari, quand je lui ai proposĂ© d’inviter Edith Ă  dĂźner chez nous. Elle n’a plus rien Ă  raconter et se contente de promener son petit mari bourgeois, dont elle boit bĂȘtement les paroles. Rappelle-toi comme elle Ă©tait rock’n’roll avant ! » me lance Christophe, avec regret. Il y va fort, mais je vois trĂšs bien ce qu’il veut dire. Edith Ă©tait capable de draguer au cafĂ© entre midi et deux et, mieux, de se taper n’importe quel type au sourire un peu musclĂ©. Elle Ă©tait gĂ©niale, mais c’est bien fini », a encore dĂ©plorĂ© Christophe. Je n’ai donc pas invitĂ© Edith. Mais je me suis sentie atteinte par ce qu’avait dit mon mari. Oui, elle a souvent couchĂ© avec le premier venu. Mais est-ce Ă  ce point une qualitĂ© ? Á vrai dire, ce n’est pas la premiĂšre fois que je me pose la question. Les yeux Ă©bahis de Christophe quand Edith nous racontait sa derniĂšre aventure avec un collĂšgue de passage ou le nouvel habituĂ© du PMU me laissait dubitative et, je dois l’avouer, un peu jalouse. Edith est attachĂ©e de presse, elle est habituĂ©e aux cocktails, Ă  frĂ©quenter beaucoup de monde. Et, en effet, elle n’avait jamais eu peur de draguer n’importe quel homme avec l’aplomb d’un mec. Que faites-vous dans la prochaine demi-heure ? » ou Tout ce que contient votre pantalon m’intĂ©resse » n’étaient pas des phrases qui lui faisaient peur. Nous sommes amies depuis l’adolescence et j’ai partagĂ© sa fantaisie, son attirance pour les coups de coeur, les Ă©lans immĂ©diats et les petites folies mais, un peu plus romantique qu’elle, j’ai toujours craint qu’on abuse de moi, alors je ne me suis jamais laissĂ© aller. Edith avait une façon tellement joyeuse de s’y prendre que c’est sans doute cette gaietĂ© qui plaisait Ă  Christophe. Elle n’en fait pas toute une histoire, elle a envie et elle y va », commentait-il. J’adore ! » s’empressait-il d’ajouter. Ce que je croyais ĂȘtre des qualitĂ©s, mon sĂ©rieux, ma constance, ma fidĂ©litĂ©, me semblait bien plan-plan par rapport Ă  ce que mon mari aimait vraiment. » À lire aussi >>> C'est mon histoire Il a vingt ans de moins que moi, et alors ? »Droit au butJe ne sais pas ce qui a fait que cette fois oĂč Christophe a parlĂ© de l’Edith du passĂ© avec admiration, je me suis sentie piquĂ©e. J’ai eu l’impression que mon mari n’avait jamais parlĂ© de moi avec le mĂȘme enthousiasme. Ce que je croyais figurer parmi mes qualitĂ©s, c’est-Ă -dire mon sĂ©rieux, ma constance, ma fidĂ©litĂ©, me semblait bien plan-plan par rapport Ă  ce que Christophe aimait vraiment. D’accord, il n’attendait pas forcĂ©ment de sa femme qu’elle se tape le premier venu, mais j’ai quand mĂȘme eu besoin de voir ce que ça faisait, au moins une fois dans ma vie, d’ĂȘtre
 gĂ©niale » ! Je me suis donc retrouvĂ©e au cafĂ©, attendant une heure, comme chaque lundi, que ma fille sorte de son cours de danse, et j’ai passĂ© en revue les piliers de bar. La tĂąche n’allait pas ĂȘtre simple car, contrairement Ă  Édith, je suis un peu phobique. Mains sales, odeur avinĂ©e, mauvaise diction, tout est pour moi prĂ©texte Ă  reculer. J’ai donc patiemment attendu qu’un type puisse me plaire. Il a fallu un trimestre de cours de danse pour que je tombe dessus. Un lundi, Xavier est apparu. La moitiĂ© de mon Ăąge, le regard moqueur et la blague facile, il avait tout pour me plaire ou plutĂŽt pour plaire Ă  la femme que j’allais essayer d’ĂȘtre afin qu’il me repĂšre. Je l’ai regardĂ© ostensiblement, et je me suis accoudĂ©e au bar. Je me suis souvenue qu’Edith souriait franchement. Elle pouvait mĂȘme Ă©clater de rire jusqu’à ce que l’homme qu’elle regardait vienne Ă  elle, alors j’ai fait de mĂȘme. Et Xavier a Ă©tĂ© harponnĂ©. Mais vous me draguez, madame la mĂšre de famille ? » m’a-t-il lancĂ©, regardant le sac Ă  dos en forme de coccinelle que j’avais gardĂ© accrochĂ© Ă  mon bras. J’avais besoin d’aller vers mon but, et commencer Ă  blaguer allait me faire perdre du temps. Je voulais ĂȘtre la fille gĂ©niale qui se contente d’une rencontre brutale, et d’un Tu veux ou tu veux pas ? ». Mais Xavier a commencĂ© Ă  me poser des questions sympas, sur mon mĂ©tier, sur moi. Á mon tour, j’ai bien Ă©tĂ© obligĂ©e de m’intĂ©resser Ă  lui. Je ne pouvais dĂ©cemment pas lui demander de se taire et lui expliquer que j’aspirais Ă  une rencontre rapide et strictement sexuelle afin de piger quelque chose Ă  l’admiration que porte mon mari aux femmes un peu lĂ©gĂšres
 Mais je me suis lancĂ©e. T’es cool, toi, dis donc », m’a dit Xavier, quand je lui ai demandĂ© si un tour au sous-sol lui ferait plaisir. Mais, hĂ©las, je suis fidĂšle ! » m’a-t-il lancĂ©. Piteusement, je lui ai demandĂ© s’il ne pouvait pas faire une exception, juste pour moi. Je me suis entendue dire Je vous assure, c’est cinq minutes et on n’en parle plus jamais. » Cinq minutes ? » a-t-il plaisantĂ©. J’ai commencĂ© Ă  bafouiller et je lui ai racontĂ© mon histoire. En fait, tu veux juste te venger parce que ton mari t’a trop rĂ©pĂ©tĂ© qu’il trouvait ta copine gĂ©niale, mais tu n’en as aucune envie ! » a-t-il rĂ©sumĂ©. C’est un peu ça, ai-je reconnu, mais tant que je ne l’aurai pas fait, j’y penserai. » m’a dit Xavier en m’attrapant le bras, mais on va dans ma camionnette. » J’ai serrĂ© les dents et pensĂ© Ă  Edith et Ă  la maniĂšre qu’elle aurait eue de nous raconter tout ça. Je me suis donc parĂ©e de ma plus magistrale lĂ©gĂšretĂ© et j’ai marchĂ© jusqu’au fourgon. Je ne t’enlĂšve pas, a plaisantĂ© Xavier, et je laisserai la porte ouverte. » Ouverte ? » ai-je murmurĂ©. Il voulait juste dire qu’il ne fermerait pas Ă  clef. Il y avait un matelas dans le camion. Je me suis demandĂ© si Xavier vivait lĂ . J’ai pensĂ© que je faisais une belle erreur, faux pas que je ne pourrais raconter ni Ă  Edith ni Ă  mon mari. Xavier ne m’a pas basculĂ©e violemment contre le matelas, il m’a proposĂ© un cafĂ©, mais j’ai eu peur que ça m’énerve. Je viens d’en prendre un, lui ai-je dit, et deux, tu vois, ça risque de me faire un peu trop de cafĂ©ine
 » Il a explosĂ© de rire. J’étais gĂȘnĂ©e, tellement mal Ă  l’aise. Si c’est la corvĂ©e, ne te force pas, ma grande ! » m’a-t-il dit. Si, si, ai-je murmurĂ©, j’y tiens. » C’était tellement comique que Xavier a prĂ©cisĂ© que je pouvais dire stop quand je voulais, ou mĂȘme plus tard, si je regrettais d’ĂȘtre lĂ  Ă  un moment donnĂ©. Je me suis dit que j’avais du bol d’ĂȘtre tombĂ©e sur un type pareil. J’ai regardĂ© le sac Ă  dos coccinelle droit dans les antennes et j’ai pensĂ© profite quand mĂȘme ! Contente et affligĂ©eQuand je suis redescendue du camion, je planais. Pas de bonheur mais de dĂ©calage. Je m’étais dĂ©doublĂ©e et il allait falloir que je me retrouve avant la fin du cours de danse. Heureusement, c’est ma fille qui m’a trouvĂ©e. Elle s’est jetĂ©e sur moi en criant Maman ! Tu es bien coiffĂ©e, pour une fois ! » Je me suis regardĂ©e dans le vestiaire, j’étais complĂštement hirsute. Et ma fille dĂ©teste mes brushings. On est rentrĂ©es Ă  la maison et je me sentais Ă  la fois contente d’avoir mis un terme Ă  mon obsession et affligĂ©e d’en ĂȘtre arrivĂ©e lĂ . Christophe est rentrĂ© et je me suis mordu les lĂšvres. J’ai retenu l’envie de lui dire Tu sais, cet aprĂšs-midi, j’ai couchĂ© avec n’importe qui pour que tu me trouves gĂ©niale ! Alors que je me terrais dans mon coin, Christophe m’a dit Mon amour, tu sais qu’elle est gĂ©niale, ton idĂ©e de dĂ©placer le lit sous la fenĂȘtre ? » Et j’ai Ă©clatĂ© de rire. Je me suis dit que je prĂȘtais un peu trop attention aux mots. Il y avait tant de choses gĂ©niales aux yeux de Christophe ! Je l’ai serrĂ© dans mes bras. J’avais honte, mais j’étais contente d’avoir Ă©tĂ© un peu folle. C’était bien, ta journĂ©e ? » m’a-t-il demandĂ©, tu as l’air Ă©trange... Si tu savais tout ce que j’ai fait, lui ai-je rĂ©pondu, tu serais fier de moi. » Mais quand il m’a demandĂ© de raconter, je me suis contentĂ©e de l’ avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre tĂ©moignage. Écrivez-nous Ă  cmh
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Cest un monarchiste de centre droit, Ambroise Joubert, dĂ©putĂ© du Maine et Loire et manufacturier, qui prĂ©senta la proposition de loi lors de la sĂ©ance du 19 juin 1871, moins d'un mois aprĂšs la Semaine sanglante. En s'attaquant aux abus les plus rebutants de l'Ă©conomie libĂ©rale, mais aussi en d'autres aspects, cette loi relĂšve de l'Ordre moral de la majoritĂ© 
Qu’au dĂ©part je n’étais absolument pas destinĂ©e Ă  aimer. J’avais mĂȘme plutĂŽt lieu de m’en mĂ©fier. D’abord Ă  cause de son Ăąge. Ensuite, Ă  cause de son identitĂ© mĂȘme. Je te plante le dĂ©cor. Nous sommes en 2014. Je viens de tomber amoureuse d’un type Ă©patant voir mon article sur le grand amour. Le type en question est l’attentionnĂ© papa d’un mĂŽme de 13 ans. Et lĂ  gros hic. Car l’idĂ©e de me coltiner un gamin – pas le mien qui plus est – probablement en pleine crise d’ado m’emballe autant qu’un tĂȘte Ă  tĂȘte avec une hyĂšne Ă  jeun. Faut dire que je n’ai pas une fibre maternelle excessivement dĂ©veloppĂ©e pour les petits d’homme. Autant je gĂągĂąte devant les chats, autant tout ce qui parle de maternitĂ©, grossesse, procrĂ©ation, Ă©ducation, me laisse froide comme un concombre. Voir ce jeune gaillard dĂ©bouler dans ma vie n’a donc rien d’enchanteur. Je n’ai pas fait d’enfants ; ce n’est pas pour m’occuper de ceux des autres ! », clamĂ©-je Ă  qui veut l’entendre. En plus ce petit-lĂ  est l’incarnation mĂȘme du lien que mon homme a nouĂ© avec une autre femme, avant moi. Il est la preuve que mon amoureux a aimĂ©, construit, fait l’amour avec une autre que moi – idĂ©es hautement choquantes pour la grande mĂ©galo que je suis ! Comble de dĂ©veine, le mioche est le portrait crachĂ© de sa mĂšre, il me la place sous les yeux en permanence. Pour parfaire le tableau, certains aspects de son caractĂšre m’agacent je le trouve empotĂ©, geignard, peureux, feignasse. Comme tu vois, on est loin de La MĂ©lodie du Bonheur ou alors on est en plein dedans si l’on s’en tient au dĂ©but du film, au moment oĂč Maria peine Ă  apprivoiser les enfants Von Trapp 🙂 !. Oui mais cet enfant est lĂ  et bien lĂ . Il ne va quand mĂȘme pas passer sous un bus juste pour te faire plaisir » me sermonne mon meilleur ami – et il a bien raison. RenĂącler ne sert ici Ă  rien. Soit j’accepte le package father and son, soit je me cherche une autre histoire, un autre amour – sans marmaille ! Je dĂ©cide de rester. Parce que j’aime le papa et qu’il me rend follement heureuse. Et le gosse, me diras-tu, qu’en as-tu fait ? Or, c’est lĂ  que l’histoire devient magique et mĂ©lodiedubonheurienne en diable. Nous avions d’un cĂŽtĂ© un gamin craintif, pas complĂštement remis du divorce de ses parents, un peu frileux devant la nouvelle chĂ©rie du papa. Et de l’autre une grande duduche au caractĂšre Ă©pineux, guĂšre dĂ©cidĂ©e Ă  jouer les nounous cĂąlines. Eh bien contre toute attente, ces deux ĂȘtres-lĂ  ont matchĂ© du feu de dieu ! Et ce qui avait toutes les chances de devenir une catastrophe est au contraire devenu
 une famille ❀ . Il a beaucoup changĂ© depuis 2 ans. Les traits de son caractĂšre qui auparavant m’irritaient se sont estompĂ©s, ont cĂ©dĂ© la place Ă  des qualitĂ©s nouvelles, lumineuses et bien affirmĂ©es, qui le rendent d’autant plus attachant. La petite chenille anxieuse rencontrĂ©e en 2014 est devenue un papillon Ă©blouissant, beau de corps et d’esprit et qui me fait en outre le grand honneur de me dire que je ne suis pas pour rien dans cette mĂ©tamorphose 🙂 . En terme de tempĂ©rament, d’aspirations et de sensibilitĂ©, nous avons de nombreux points communs. C’est un artiste comme moi, d’ailleurs excessivement douĂ©, qui veut faire de la BD sa vocation. Cette similitude de nos domaines d’accomplissement respectifs – moi l’écriture, lui le dessin – a beaucoup favorisĂ© notre rapprochement. Nous nous comprenons d’un clignement d’Ɠil. Nous savons nous remonter le moral mutuellement. Nous sommes un peu jumeaux d’ñme. Ce qui nous permet de communiquer aisĂ©ment et d’ĂȘtre toujours sur la mĂȘme longueur d’onde. Ce qui me donne aussi, parfois, l’impression qu’il est vraiment mon fils. Pour autant, je suis trĂšs heureuse de n’ĂȘtre que la belle-mĂšre. Ce statut m’apporte le droit de l’accompagner et de crĂ©er avec lui un lien privilĂ©giĂ©, sans que j’aie Ă  assumer les lourdes responsabilitĂ©s de l’état de mĂšre. Ça me va trĂšs bien. Cette histoire, c’est donc celle d’un mec grand et blond qui est entrĂ© dans ma vie sans crier gare et qui y a tout chamboulĂ©. Pour le meilleur. Guiguiche m’a beaucoup appris, il a dĂ©veloppĂ© en moi des talents nourriciers que je pensais ne pas avoir – hormis pour mes chats. Vis-Ă -vis de moi, il est toujours protecteur, attentif, affectueux, appliquĂ© Ă  me faire plaisir, zĂ©lĂ© Ă  ne jamais me dĂ©cevoir. Peut-ĂȘtre te demandes-tu pourquoi je te raconte tout cela ? D’abord parce que je voulais saluer cet ado, ce grand petit prince dont la vie cĂŽtoie la mienne et qui y dĂ©pose du rire et des paillettes. Et puis aussi, Ă  un niveau moins personnel, parce que cette aventure m’a appris que la vie emprunte parfois des chemins inattendus pour nous amener Ă  l’endroit oĂč nous serons bien. Ce qui nous fait peur ou nous rebute est peut-ĂȘtre porteur du plus beau des cadeaux cachĂ©s. Il faut apprendre Ă  surmonter le blocage initial ou la rĂ©sistance ressentie et Ă  accepter ce que la vie nous offre. Je reste persuadĂ©e qu’elle a un grand dessein – pour moi, pour toi, pour tous. Et qu’elle sait y faire. Se laisser porter par son courant peut parfois entraĂźner loin des rivages oĂč l’on se sentait en sĂ©curitĂ©. Mais c’est aussi cela qui permet de dĂ©couvrir le nouvel Eldorado oĂč peut naĂźtre un bonheur incroyable auquel on ne s’attendait pas. Foi de Guiguiche et de Carole-Anne ! Je t’embrasse. Ellerencontre une jeune fille SDF, No, afin de l'interviewer et d'en savoir plus sur la maniĂšre dont elle vit dans la rue. Lou va ainsi apprendre Ă  connaĂźtre No et Ă  s'attacher Ă  elle. Je ne sais pas si je doit donner mon avis pour l'exposĂ©. Si c'est le cas : No et moi, est un roman trĂšs Ă©mouvant et touchant. Lire ou tĂ©lĂ©charger No et moi ceci, vous ne serez pas déçu. ===>>LIRE EN
PubliĂ© le mardi 26 mai 2015 Ă  15h40 zahrani- sĂ©lim C’est l’histoire d’un mec qui cherche un truc Ă  dire Ă  la radio parce qu’il est trĂšs pudique et qu’il n’aime pas trop se livrer. Il se dit aussi que ce n’est peut ĂȘtre pas le lieu pour raconter ses histoires de cƓur et autres psychodrames familiaux
 » ©CNSAD Textes choisis ou Ă©crits par les Ă©lĂšves de premiĂšre annĂ©e du Conservatoire National SupĂ©rieur d'Art Drtamatiques. Un texte Ă©crit par SĂ©lim Zahrani Accueil France Culture CNSAD / L'histoire d'un mec » par SĂ©lim Zahrani
Coluche c'est l'exploit d'un mec de Bruno Gillet - Collection Dossiers Michel Vaillant - Livraison gratuite Ă  0,01€ dĂšs 35€ d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est lĂ  le juin 19, 2018 Par dans Articles 16 783 vues Je ne vais pas prendre de ne vais pas mentir. Je ne vais pas cacher. Je vais raconter. Mon voyage au Gabon a Ă©tĂ© un des plus dur voyage que j’ai vĂ©cu. Il a aussi Ă©tĂ© un des plus beaux. En intensitĂ©, en ouverture, en guĂ©rison de moi-mĂȘme. Cet article est illustrĂ© des photos de mon voyage, en 2016, et de nombreux portraits de la femme que j’ai Ă©tĂ© lĂ -bas. Plonge avec moi dans mon histoire. Gabon, dĂ©cembre 2016. J’ai atterri Ă  Libreville le 22 dĂ©cembre 2016. Je partais lĂ -bas pour dĂ©couvrir le pays et pour voyager. On m’avait prĂ©venu que le Gabon n’était pas un pays facile. On m’avait mĂȘme dit que c’était dangereux. J’ai eu peur avant de dĂ©coller. Mais j’avais prĂ©vu ce voyage depuis plusieurs mois. Et j’ai dĂ©cidĂ© d’y aller malgrĂ© tous les avertissements. Parce ce que je crois en mon intuition. Parce que je crois en ma guidance. J’atterris en pleine nuit. Un chauffeur vient me chercher pour m’emmener au airbnb que j’ai louĂ© dans un quartier calme de Libreville, la capitale. Il fait extrĂȘmement chaud. La pluie tombe comme des cordes sur le toit en tĂŽle de mon petit appartement. Je ne connais pas le pays, je n’ai pas vraiment de plans ni de feuille de route, je suis partie Ă  l’aventure avec mon sac Ă  dos, comme j’aime. Je suis une aventuriĂšre, et je suis arrivĂ©e dans ce pays la fleur au fusil. Le premier jour, je sors trĂšs peu. Je crois que j’ai passĂ© la journĂ©e Ă  dormir pour m’acclimater au pays. Je reviens d’un voyage d’un mois au Maroc et j’ai besoin de me reposer pour entamer la suite de mon pĂ©riple. Le deuxiĂšme jour, je dĂ©cide de prendre un taxi pour aller au centre et visiter la ville. Je monte dans un taxi et deux jeunes hommes gabonais sont dedans, nous sympathisons illico, le contact passe. On s’arrĂȘte au bord de la plage et ils m’offrent Ă  goĂ»ter une noix de coco. Puis ils se proposent de m’emmener manger un morceau dans un boui-boui de la ville. Je les suis. Je suis trĂšs contente d’avoir trouvĂ© des guides » locaux ! Je goĂ»te du crocodile oui ! et aussi un poisson dont je ne me rappelle plus. LĂ , un des deux hommes s’en va, il a des courses Ă  faire, et me laisse avec l’autre, que je nommerais Jee. Jee propose de me faire visiter la ville. Il est trĂšs gentil, expressif, attentionnĂ©. Je me laisse guider, je suis trĂšs contente de l’avoir rencontrĂ©, car il me montre les endroits les plus typiques de la ville, et j’aime rencontrer les gens du pays pour visiter Ă  leur maniĂšre. C’est ainsi que je construis mes voyages, au fil des rencontre. C’était la veille de NoĂ«l, le 23 dĂ©cembre. Tout va trĂšs vite en voyage. Tout es plus intense. On a pas de recul. Je passe la journĂ©e avec Jee. Il m’emmĂšne vraiment partout. En fin de journĂ©e, nous allons boire des biĂšres sur la fĂȘte foraine. On parle, on se rencontre. Il ne me lĂąche pas d’une semelle. Il me fait la cour en fait. Il me prend la main, tente de se rapprocher de moi. Je le laisse faire, je suis un peu mal Ă  l’aise. Mais il ne me veut rien de mal et il est si gentil. Nous allons prendre un dernier verre dans une boĂźte de nuit. Il me dit qu’il me trouve trĂšs belle et qu’il aimerait ĂȘtre avec moi les Gabonais sont trĂšs trĂšs rapides en demande en mariage. Je lui explique que je suis plus ou moins dans une relation amoureuse et que je ne cherche personne. Je lui explique ça trĂšs clairement. Mais je crois qu’il n’entend pas, ou bien qu’il s’en fout. Je me sens moins seule de l’avoir rencontrĂ©, il est vite devenu un point de repĂšre. Il me propose mĂȘme de m’emmener visiter le nord du pays, rencontrer les populations des villages et sa famille. Ca me tente ! AprĂšs avoir bu un verre en boĂźte, il me raccompagne Ă  mon airbnb. Je le laisse entrer chez moi. Il est trĂšs insistant dans ses paroles et extrĂȘmement douĂ© pour me brouiller la tĂȘte. À ce moment lĂ , je ne rĂ©alise pas vraiment ce qui se passe, je le comprendrais beaucoup plus tard. Nous buvons un dernier verre et mangeons un morceau ensemble. Il demande Ă  dormir avec moi. Je ne veux pas. Je lui demande de partir. Il ne veut pas me laisser. C’était sans doute vers 22h. Tout d’un coup, il se met Ă  pleuvoir, pleuvoir, pleuvoir des trombes comme il en tombent lĂ -bas Ă  la saison des pluie. Je me sens mal de le mettre dehors, si tard, sans taxi pour rentrer avec la pluie qui tombe. Je l’autorise Ă  dormir chez moi au pied du lit, mais pas avec moi ! Je dois presque batailler pour cela, mais Jee finit par accepter de dormir par terre. Au petit matin, il vient dans le lit pour se rapprocher de moi. Je lui dit non, laisse-moi tranquille, je ne veux pas dormir avec toi. Il se remet par terre. J’éprouve de la culpabilitĂ© Ă  le faire dormir par terre mais je n’ai vraiment pas envie qu’il dorme avec moi. Le lendemain, je suis de mauvaise humeur Ă  cause de ses circonstances. Je suis Ă  la fois contente de ne pas ĂȘtre seule mais aussi Ă©nervĂ©e par son comportement que je trouve collant et envahissant. Je suis contrariĂ©e par cette situation et en mĂȘme temps ambiguĂ« car je ne lui dit pas de partir. Je ne sais pas trop quoi faire. J’ai peur de me retrouver seule. C’est tout de mĂȘme rassurant de l’avoir prĂšs de moi pour visiter la ville et je suis un peu vulnĂ©rable et sans repĂšre avec les codes du pays. Libreville, c’est la faune !!! Nous nous promenons dans le quartier oĂč j’habite, un petit tour. Je luis dis ensuite que je veux ĂȘtre seule, que j’ai besoin de me reposer. AprĂšs de longues nĂ©gociations, il accepte de me laisser. Il me recontacte plus tard dans la journĂ©e pour faire un tour. J’accepte. Il m’emmĂšne faire les magasins, il m’emmĂšne chez quelqu’un de sa famille pour prĂ©parer un repas, puis m’emmĂšne me faire les ongles, puis Ă  nouveau chez un autre membre de sa famille qui nous sert Ă  nouveau Ă  manger. Il continue de me faire la cour. Je suis de plus en plus mal-Ă -l’aise, je lui explique que je ne suis pas disponible, que je suis avec quelqu’un d’autre. Je ne cesse de repousser ses avances. Il n’est pas violent. Il ne fait aucun geste pour me forcer. Il tente simplement d’ĂȘtre en contact continuellement avec moi en me prenant la main. Que je repousse Ă  chaque fois. Mais il ne lĂąche pas l’affaire. C’est le soir de NoĂ«l. Nous allons boire un verre le soir. Au Gabon, il y a des bars partout avec une musique assourdissante. Nous buvons une biĂšre puis deux, puis trois dans un coin de la ville. J’ai envie de rentrer. Il me dit ne t’inquiĂšte pas j’ai un ami qui peut venir te ramener, mais il est pris dans les embouteillages» le soir de NoĂ«l, c’est la folie, il y a des voitures partout! Je patiente. Une heure. Peut-ĂȘtre deux heures. À 23h, je n’en peux plus, j’ai vraiment envie de rentrer me coucher. Tant pis pour faire la fĂȘte, je n’ai pas la tĂȘte Ă  ça. Je me fĂąche et je lui dit il fait quoi, ton ami ? Ca fait 3 heures qu’on l’attend. Je vais trouver un taxi ». Il me suit, Ă©videmment. Nous trouvons un taxi pour que je rentre chez moi. Je lui dit de me laisser, ce qu’il ne fait pas. Il veut me raccompagner pour ĂȘtre sĂ»r que je rentre saine et sauve chez moi. Sur la route, des gens se battent. Je ne suis pas rassurĂ©e. Le taxi nous dĂ©pose chez moi. Je ne retrouve plus la grille d’entrĂ©e. J’aimerais que Jee reprenne le taxi et me laisse tranquille. Je suis Ă©puisĂ©e par ses trois jours d’arrivĂ©e, et de harcĂšlement psychologique. Je me sens vulnĂ©rable. J’ai la tĂȘte embrouillĂ©e. Jee insiste et ne reprend pas le taxi, il descend avec moi. Je suis partagĂ©e entre l’envie qu’il parte, le malaise qui est lĂ  depuis le presque dĂ©but de notre rencontre et ma culpabilitĂ© de le repousser continuellement. Il est gentil, il prend soin de moi, il n’est pas moche physiquement. IntĂ©rieurement, je me dis C’est quoi mon problĂšme ? Pourquoi je me sens mal avec lui alors qu’il est super gentil, qu’il m’emmĂšne visiter sa famille, les lieux de Libreville, etc.. Pourquoi je ne veux pas de lui ? » On rentre chez moi. Je m’assois Ă  la table de la cuisine. Je me rappellerais toujours de ce moment lĂ  dans ma tĂȘte. Jee est lĂ , il me parle. Il est Ă  mes genoux. Je suis dans un Ă©tat d’épuisement et de vulnĂ©rabilitĂ© totale. Il me dit que j’ai beaucoup souffert par amour, et que c’est pour ça que je ne veux pas m’ouvrir Ă  lui. Il me dit que lui, il va tout me donner, il va me faire oublier tous les hommes qui m’ont fait du mal, que je ne sais pas ce que c’est l’amour, qu’aucun homme ne pourra m’aimer comme lui le fera, qu’il va me faire oublier tout le mal que j’ai vĂ©cu en amour. Ses mots me touchent le cƓur. Je me met Ă  pleurer. Je craque. Je pleure. Je lĂąche tout. J’ai passĂ© 3 jours Ă  lutter contre lui, Ă  ne pas arrĂȘter de lui expliquer que je ne suis pas disponible, Ă  repousser ses avances, mais lĂ , je craque littĂ©ralement. Je n’en peux plus de lui dire non. Je n’en peux plus qu’il ne m’entende pas. Je me dis que s’il me voit pleurer, il va comprendre. Il va comprendre qu’il me harcĂšle. Je pleure. LittĂ©ralement, je le laisse faire, je dĂ©cide de ne plus lutter contre lui. Je suis complĂštement immobile Ă  l’écouter avec mes larmes. Un viol, ça arrive comme ça. Tout simplement. Il me prend dans les bras. Il me porte Ă  mon lit. Il me dĂ©shabille. Je continue d’osciller entre larmes et explications. Il continue de me rassurer. À un moment, je me souviens m’ĂȘtre dit Peut-ĂȘtre qu’il a raison. Peut-ĂȘtre que c’est moi qui ai un problĂšme avec les hommes et que peut-ĂȘtre il peut vraiment m’aimer. Peut-ĂȘtre qu’il m’a percĂ© Ă  jour et qu’il peut me sauver. » À un moment, je me souviens m’ĂȘtre dit Ok, il faut que ça finisse. Il faut que ça finisse, donne lui un prĂ©servatif, fais-le jouir et il va partir ! » Le seul moyen pour qu’il me laisse Ă©tait de lui donner ce qu’il voulait. Alors, j’ai finis pas lui dire Ok, va-y, on fait l’amour mais tu te protĂšges ». Il a mis un prĂ©servatif. M’a pĂ©nĂ©trĂ©. Ce n’était pas agrĂ©able. J’étais totalement dĂ©munie. Sa queue Ă©tait rude et sans amour. Il a arrĂȘtĂ© puis il m’a dit alors, c’est bien ? ». Je lui ai rĂ©pondu que non, ce n’était pas agrĂ©able. J’ai cru que c’était fini, qu’il avait compris. Il a enlevĂ© le prĂ©servatif. Puis il a recommencĂ© Ă  vouloir me pĂ©nĂ©trer. Je pleurais encore. Comment est-ce possible qu’un homme pĂ©nĂštre une femme qui pleure sans se rendre compte qu’il la viole ? C’est Ă  ce moment lĂ  que j’ai rĂ©alisĂ©. J’ai rĂ©alisĂ© qu’il Ă©tait en train de me pĂ©nĂ©trer sans prĂ©servatif et que je pouvais tomber enceinte s’il jouissait en moi. Une alarme s’est allumĂ©e illico dans ma tĂȘte. J’ai criĂ©, j’ai pleurĂ©, j’ai dit Stop ! Je ne veux pas tomber enceinte, tu es malade ! Tu t’en vas ! Maintenant. » Cette fois-ci, je ne lui ai pas laissĂ© le choix. J’ai tenu bon. J’étais en larmes. Je me suis dit Lorsqu’il va partir, tu vas t’effondrer et ça va ĂȘtre la plus dure nuit de ta vie. » J’ai cru que je m’arrachais le cƓur de devoir le faire partir. Il est parti. Les larmes ont cessĂ©es instantanĂ©ment. Je me suis endormie comme une masse. Le lendemain, j’ai appelĂ© une amie et ma famille. C’était le jour de NoĂ«l. J’étais encore embrouillĂ©e. J’ai tout racontĂ© Ă  mon amie. Elle m’a soutenue. Elle m’a dit avec douceur et amour ce que j’avais besoin d’entendre Tu sais, ce n’est pas parce qu’un mec te veut que tu dois le vouloir. Tu dois choisir les mecs avec qui t’as envie de coucher. Ce n’est pas parce qu’un mec va te faire la cour, ĂȘtre super gentil, te payer tout ce que tu veux, te dire des mots d’amour, que tu dois lui donner ton corps. C’est toi qui choisis. Imagine que tu dois coucher avec tous les mecs que tu croisent dans la rue et qui sont gentils avec toi ! Ce n’est pas possible. » J’ai compris. J’ai compris Ă  quel point j’étais vulnĂ©rable et que cet homme Ă©tait entrĂ© dans mes failles. J’ai eu un Ă©lectro-choc. J’étais dans une rage folle contre Jee. J’ai pris la dĂ©cision de ne pas le revoir, et le lendemain, lorsqu’il m’a contactĂ© par tĂ©lĂ©phone, je lui ai assenĂ© on ne se revoit pas, c’est terminĂ©. Je ne veux absolument pas te revoir. » Évidemment, il n’a pas compris. Il se demandais pourquoi je rĂ©agissais comme ça, moi qui m’était ouverte Ă  lui, qui lui avait ouvert mon corps et mon lit. Il m’a harcelĂ© de messages et d’appels. Je suis allĂ© boire un coca-cola non loin de chez moi. Il m’a appelĂ© Ă  ce moment lĂ  en me disant qu’il n’était pas loin, en s’excusant de son comportement, mais qu’il tenait absolument Ă  ce qu’on discute et Ă  me prĂ©senter ses excuses. J’étais dans une colĂšre noire. J’ai acceptĂ© qu’il vienne pour me prĂ©senter ses excuses. Il est arrivĂ©. Je lui ai dit que ce qu’il avait fait, c’était du viol. Je lui ai dit, la rage dans la voix À quel moment, depuis qu’on s’est rencontrĂ©, je t’ai dit oui, je veux coucher avec toi ? Oui, je te veux ? À quel moment ??? » À aucun moment, je n’ai dit oui. À aucun moment je n’ai exprimĂ© ni verbalement, ni physiquement que je voulais coucher avec toi ». Je lui ai dit que chez nous, ce qu’il a fait, c’est du viol. Que chez nous, un homme peut raccompagner une femme chez elle et mĂȘme boire une verre chez elle, mais que ce n’était pas pour ça qu’elle allait coucher avec lui. Je lui ai dit toute ma colĂšre. J’ai Ă©tĂ© ferme. J’étais dans une colĂšre noire. Les codes ne sont pas les mĂȘmes. Il n’a pas compris que c’était un viol. Comme tous les hommes qui n’entendent pas. Qui ne savent pas que lorsqu’une femme ne dit pas oui, je te veux », c’est qu’elle n’est pas consentante. Comme toutes les femmes qui ne savent pas que lorsqu’elles ne disent pas clairement oui, je te veux » et qu’elle font l’amour quand mĂȘme, elle se retrouvent en position d’abus de leur propre corps. Une femme doit apprendre Ă  dire non, je ne te veux pas » et oui, je te veux ». Une femme doit apprendre Ă  respecter et Ă©couter son dĂ©sir et son rythme. Un homme doit apprendre Ă  demander le oui » et le non » d’une femme et Ă  accepter sa rĂ©ponse. Un homme doit accepter de demander si une femme veut coucher avec lui, dĂšs que cela n’est pas clair. Un homme doit apprendre Ă  laisser une femme parler de son dĂ©sir, sans attente en retour de pouvoir coucher avec elle. Un homme, s’il est vraiment clair, doit apprendre Ă  recevoir le oui » d’une femme sans avoir, une seule seconde, Ă  le forcer. À le soutirer. À le manipuler. Un homme doit savoir entendre le non et l’accepter sans que cela l’insĂ©curise. Une femme doit apprendre Ă  choisir selon son dĂ©sir. Selon les Ă©lans de son corps. Elle doit apprendre Ă  toujours Ă©couter et savoir dire non si c’est non. À savoir dire non. AprĂšs cette conversation, Jee me demande une chose. Et il insiste fortement. Il veut ĂȘtre lĂ  jusqu’à la fin de mon sĂ©jour Ă  Libreville. J’ai choisis de prendre un billet de train pour l’autre bout du pays afin de continuer ma visite, seule, et Jee me demande d’ĂȘtre lĂ  pour me protĂ©ger jusqu’à ce que je parte, ce qui doit ĂȘtre le lendemain ou le surlendemain. Il est de nouveau trĂšs insistant. Mais les choses sont claires. J’accepte. À partir de ce moment lĂ , Jee reste Jee, il prend soin de moi, mais il ne me touche plus, il a compris. Le jour de mon dĂ©part pour l’intĂ©rieur du pays, il m’emmĂšne Ă  la gare. Et lĂ , je me rappellerais toujours ce qu’il a fait. Il a mimĂ© un homme qui vient s’assoir Ă  cĂŽtĂ© moi dans le train et qui essaye de me faire la conversation. Il m’a dit si un homme vient s’assoir Ă  cĂŽtĂ© de toi et entame la conversation avec toi, tu fais quoi ? » J’ai mimĂ© en retour je tourne la tĂȘte et je dis non ». Jee m’a appris Ă  poser mes limites. À comprendre que si je laisse entrer un homme chez moi, dans ce pays, c’est que je suis consentante. À comprendre que si j’entame la conversation avec un homme, c’est que, pour ce mĂȘme homme, je suis potentiellement intĂ©ressĂ©e pour aller plus loin. Au Gabon, si un homme aborde une femme, c’est qu’il veut lui faire la cour. Les femmes lĂ -bas, si elles ne sont pas intĂ©ressĂ©es, tournent la tĂȘte en disant non. ». Il n’y a pas de de mi-mesure et de subtilitĂ©s possibles. Je ne banalise pas ce qui s’est passĂ©. Je ne cherche pas d’excuses Ă  Jee. Il n’aurait pas dĂ» abuser de n’aurait pas dĂ» vouloir me forcer Ă  coucher avec lui. Cet Ă©pisode de ma vie m’a beaucoup touchĂ©, plus que je ne le pense. Ce que je sais aujourd’hui, c’est que je suis une guĂ©risseuse. C’est-Ă -dire que cette situation m’a permis de me transformer. Me permet encore aujourd’hui de m’affirmer dans mon dĂ©sir. Que plus jamais une homme ne me touchera si je ne veux pas. Peut-ĂȘtre que je douterais encore. Peut-ĂȘtre que j’aurais encore et souvent le sentiment qu’on peut entrer en intrusion dans ma vulnĂ©rabilitĂ©, dans mon psychisme. Peut-ĂȘtre. Je ne suis pas parfaite. Toutes les femmes ont cette problĂ©matique. Elles portent cet abus en elle. Moi, ça m’a marquĂ©. ProfondĂ©ment. Si un homme arrive Ă  toucher ma vulnĂ©rabilitĂ©, alors, il peut abuser de moi. VoilĂ  ce qui est inscrit en moi. Je ne laisserais plus faire cela. Lorsque je montre ma vulnĂ©rabilitĂ© Ă©motionnelle Ă  un homme, Et que celui-ci en a profite pour m’emmener au lit, Afin de satisfaire son dĂ©sir, C’est du viol. Et ce n’est pas normal de vivre ça. C’est la rĂ©alitĂ© de beaucoup de femmes. C’est la rĂ©alitĂ© de beaucoup d’hommes qui ne savent pas accueillir la vulnĂ©rabilitĂ© Ă©motionnelle d’une femme. Ou la leur. Et qui abusent de la vulnĂ©rabilitĂ© de leur partenaire. Par ignorance. Par brutalitĂ©. Par envie de pouvoir. De possession. C’est nul. Avec le recul, je vois. Je vois Ă  quel point ce qui s’est passĂ© m’a permis de prendre le chemin de mon affirmation, de l’affirmation de mon dĂ©sir. J’ai eu besoin de me pardonner. J’ai eu besoin de me pardonner d’avoir eu Ă  vivre ma sexualitĂ© de cette maniĂšre. J’ai eu besoin de me pardonner d’avoir mis si longtemps Ă  me respecter, Ă  croire en moi et en mon corps. Lorsque je n’ai pas de dĂ©sir physique pour un homme, je n’y vais pas. Je ne rĂ©ponds pas peut-ĂȘtre », je ne fais rien croire. Je dis Non, je ne te dĂ©sire pas. » Et l’homme aura beau me donner tous les arguments du monde, mon dĂ©sir est plus important que le sien. Mon dĂ©sir est mon centre sacrĂ©. Mon dĂ©sir est ma boussole. Si je ne te dĂ©sire pas, ne me fais pas changer d’avis. Si je ne te dĂ©sire pas, ne me pĂ©nĂštre pas. Si je te dĂ©sire pas, accepte-le. Depuis ce viol, je n’ai jamais recouchĂ© avec un homme si je ne le dĂ©sirais pas totalement. Et Dieu sait si j’en rencontre des hommes qui m’offrent leur dĂ©sir ! Beaucoup. Souvent ! À prĂ©sent, je choisis. Il n’y a plus de doutes possible. Pour pouvoir ĂȘtre vulnĂ©rable dans les bras d’un homme sans me sentir en danger, j’apprends Ă  renforcer ma sĂ©curitĂ© Ă©motionnelle. À accepter d’accueillir ma vulnĂ©rabilitĂ© sans avoir peur de me faire violer. C’est la partie la plus difficile. Se pardonner. Retrouver la confiance en soi. Apprendre la confiance totale en soi. Poser les limites qui nous conviennent. Respecter son rythme Ă©motionnel en matiĂšre de relation. J’ai choisis que je pouvais ĂȘtre vulnĂ©rable sans me faire violer. J’ai choisis de croire que je pouvais ĂȘtre en relation sans me protĂ©ger Ă  tout prix et que je pouvais Ă  nouveau ouvrir mon cƓur. Et que je le ferais Ă  mon rythme. En posant toujours les limites qui me correspondent au moment oĂč je parle. En osant consolider ma propre sĂ©curitĂ© intĂ©rieure. Et j’avance main dans la main entre vulnĂ©rabilitĂ© et sĂ©curitĂ© intĂ©rieure pour trouver l’équilibre en moi-mĂȘme, et rencontrer des hommes qui sont mĂ»rs et qui respectent ça. Je sais que toutes les femmes ont besoin de lire ses mots. Que toutes les femmes ont vĂ©cu cette insĂ©curitĂ© physique et psychique avec un homme, et avec elle-mĂȘme au moins une fois dans leur vie. Que nous sommes en train de nous engager pour construire des relations Ă©quilibrĂ©es. Nous pardonner. Ne plus autoriser ce schĂ©ma de viol et de violence. Et cela commence par notre histoire. Notre histoire Ă  nous. Je ne repose pas la faute sur l’homme. Je ne repose pas la faute sur moi. Je ne suis pas militante. Mais j’en parle. Je parle du viol et du non-consentement aux hommes que je rencontre. Beaucoup se dĂ©fendent, ne comprennent pas ce que je dis. Ils sont dans le dĂ©ni. Je m’en fous. Je sais ce que j’ai vĂ©cu. Je sais que ça doit changer. Je sais ce que je veux comme rapport amoureux et sexuel. Je sais que lorsque je suis en sĂ©curitĂ© avec moi-mĂȘme, le sexe est vraiment bon. Je sais que lorsque je dis Ă  un homme je te veux » parce que je le dĂ©sire vraiment, c’est vraiment lĂ  oĂč je me sens femme. C’est vraiment lĂ  oĂč je me sens femme. Et c’est vraiment lĂ  oĂč j’honore l’homme. Si l’homme ne peut pas comprendre ça, alors qu’il passe son chemin. On a rien Ă  vivre ensemble. Tu sais ce que je veux pour toi ? Que tu te pardonnes. Que tu saches dire non. Que tu comprennes que ton dĂ©sir est sacrĂ© et qu’aucun homme et aucune femme ne peut le forcer. Que ton dĂ©sir n’appartient qu’à toi-mĂȘme. Que c’est toi qui choisis. J’ai envie que tu t’accueilles totalement dans ta vulnĂ©rabilitĂ©, et que tu te sentes en sĂ©curitĂ©. Que tu cesses d’attirer Ă  toi des situations oĂč tu ne sais pas dire non. J’ai envie que tu puisses te pardonner de ne pas t’ĂȘtre toujours respectĂ©e et que tu mettes de l’amour sur ce que tu es, plutĂŽt que de la culpabilitĂ©. 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Les jours les heures et les nuits Et se cƓur qui cri revient je meurs de toi et de ton mĂ©pris Elle se croit morte pour moi mais en rĂ©alitĂ© elle vie Tous chemins dans la vie finis dans l'oublie Mais elle est dans mon cƓur depuis un siĂšcle et demi Si je vous parlais de nos jours et de ses nuits de folie De la souffrance d'un amour qui surgis soudain de l'infini Ah! la vie n'offre le bien que pour les cƓur sans vie Croyez moi les amies c'est mon cƓur qui vous parle en furie Cette ange cette furie c'est ma vie Ou est tu sorciĂšre du passĂ© je vie la mort sans y pensez Mon rĂȘve peut ĂȘtre serai de te voire renaitre dans mes nuits Mais ce n'est qu'un rĂȘve je sais oh amour de l'ennuie Qu’elle tristesse et qu'elle chagrin qu'elle renne pourrait tuer son roi Je marche je marche j’attends la fin N’oubli pas mon amour peut ĂȘtre que tu seras mon destin La lune se rappelle de nos merveilles Qu’elle bonheur dĂ©funt sans toi mon soleil Si tu Ă©tais la mer tu ne pourrais jamais contenir mes larmes Si tu Ă©tais le ciel j'aurais voyagĂ© vers toi sans armes Je te vois si lointaine mais tu es encrĂ© dans mon Ăąme Aucun poĂšme d'amour ne peut contenir tous mon chagrin Juste le mot je t'aime ajouter au refrai. Histoire d'amour 2 Quand joue la mĂ©lodie du vent dans le feuillage Et que le froid descend nous faisant frissonner Que la nuit doucement dessine des images Il nous faut regagner la douceur du foyer. On traĂźne encore un peu, on Ă©coute les rires Des gosses qu'autrefois nous mĂȘmes avons Ă©tĂ©s T'en souviens-tu ma mie, dis-tu dans un sourire Tu regardes mes yeux et dĂ©poses un baiser. En passant sur le pont tĂ©moin de nos amours On se rappelle encore de nos tous premiers jours On y venait joyeux, l'amour nous enflammait Et c'est lĂ  qu'un beau jour nos coeurs se sont liĂ©s. On quitte les allĂ©es tapissĂ©es de feuillage, De mordorĂ©, de roux, que le vent fait voler Les arbres lentement perdent leur habillage Et nous pressons le pas, la cloche va sonner. Je me tiens Ă  ton bras, puis tu me prends la main Tu chantonnes tout bas, un refrain trĂšs ancien J'entends ton estomac qui dĂ©ja crie famine Passant prĂšs de l'Ă©glise, tous les deux on se signe. Les lumiĂšres s'allument, l'automne est installĂ© Un abri de fortune, un homme y est couchĂ© On ne voit rien de lui, et on passe un peu tristes Se demandant pourquoi, de nos jours ça existe. Tu serres plus fort ma main, tu remercies le ciel De nous donner du pain, aussi de ce soleil Qui vient chauffer nos corps et Ă©gayer nos cƓurs Nous permettant ainsi de vivre un tel bonheur. La porte qui s'entrouvre, la douceur du foyer Une odeur qui recouvre, toute la maisonnĂ©e Nos assiettes se vident et le regard joyeux Tu caresses mes rides, ce soir on est heureux ! Histoire d'amour 3 Histoires d'amour 2021 Cette fille d'autrefois que j'Ă©tais,et la femme que je suis maintenant,n'existe que par ta prĂ©sence en elle,quand tu t'Ă©loigne de moi,mon coeur s'arrĂȘte de battre,et mon souffle se coupe,je n'arrive plus Ă  voir ou Ă  entendre personne,je ne fais que te chercher au plus profond de mon Ăąme .En t'attendant,je ne vis et je ne respire que pour ĂȘtre dans tes bras,rĂ©chauffer la froideur du ton passĂ© sans ...toi avec la chaleur de ton amour pour moi .Dis toi bien que je n'accepterai jamais te partager avec qui que ce soit ,oĂč que tu sois,loin ou prĂšs de moi,je veux ĂȘtre plus proche de toi que tes battement de coeur ,je veux que tu ne regardes le monde qu'Ă  travers mes yeux,et que tu ne vis que pour moi, Ă©goĂŻste,autoritaire, ou malade de toi ,ça ne m'intĂ©resse pas ce que les autres peuvent dire de moi,car sans toi je ne suis plus moi,je ne suis qu'une image dans un tableau qui s'appelle la ne veux pas d'une rĂ©alitĂ© qui nous nous liera pas,je prĂ©fĂšre le rĂȘve et l'imagination si ça te garde Ă  moi. histoire d'amour 4 Fille ArrĂȘte de me suivre maintenant! -Garçon Mais, je t'aime a en mourir! -Fille Regarde la fille derriĂšre toi, elle est tellement plus belle que moi. -Le garçon se retourna, et dit Mais il n'y a personne! -Fille Si tu m'aimais vraiment tu ne te serais jamais retournĂ©. plus beau histoire d'amour Je suis folle amoureuse d'un mec qui Ă©tait le mien. Je l'aime comme une dingue et le connais de A Ă  Z. J'ai fait d'Ă©normes progrĂ©s juste parce qu'il me repprochait beaucoup de choses. On s'est sĂ©parĂ© 4 fois, il se mettait avec quelqu'un, m'humiliait puis revenait vers moi parce que cette personne l'avait jettĂ©. Physiquement ? C'est pas le BeauGosse de mes rĂȘves. Il est petit 1m 72 . Son visage, bah il est mignon mais sans plus. Ce qui m'a attirĂ©e c'est son coeur, il me montrait un coeur tellement grand que j'en suis tombĂ©e amoureuse. Mais comme on dit, les masques tombent Ă  un moment ou un autre. La sĂ©paration dĂ©finitive a Ă©tĂ© faite le jour de mon anniversaire. Je vous raconte pas la catastrophe et le scandale. Il m'a insultĂ©e et humiliĂ©e. Il a refait mon physique, en a sorti tous les dĂ©fauts et je vous jure qu'il ne m'a sorti aucun point positif. MĂȘme intĂ©rieurement, je ne suis pas bien, je ne m'accepte plus... Il est maintenant en couple avec une autre fille, je ne vois que lui, je n'arrive plus Ă  m'attacher Ă  d'autres types, je n'en peux plus. Que faire ? Il faut se libĂ©rer d'eux ... Parfois il faut juste ĂȘtre capable d'accepter que certaines personnes ne sont qu'un morceau de ta vie, et pas toute» la vie. Il faut accepter que les gens changent, se dĂ©sintĂ©ressent, ne donnent plus signe de vie, effacent leur mĂ©moire comme si c'Ă©tait un disque dur, comme si tu avais Ă©tĂ© une de ces chansons chantĂ©es .... mais vite oubliĂ©e . . . Chanson qui remonte parfois en mĂ©moire . .mais que l'on oublie encore . . . Il faut accepter que le fait que les messages, les appels, les lettres qui restent sans rĂ©ponse signifient tout simplement qu'il faut tourner la page et cesser de les attendre ... Il faut cesser de croire Ă  tous ces je t'aime . . . Il faut cesser de croire aux gens !!! Il faut cesser de croire aux absents ... Il faut cesser les attentes ... Il y a un jour oĂč il faut accepter que la plupart des gens sont juste de passage....... Regarde bien derriĂšre toi .. . et vois mĂȘme ton ombre t'abandonne quand tu n'es pas au soleil ! Alors il te faut savoir que quand tu as besoin, ils seront rares auprĂšs de toi, ceux qui disaient ĂȘtre toujours lĂ  . . . que tu pourrais compter sur eux . . . Ils ferment leur livre . . . .C'est tout ! Va maintenant et seul le temps te dira le peu d'amis vĂ©ritables que tu as .. . Mais honnĂȘtement , en ton Ăąme, tu savais tout cela . . Adieu mon amie ! Tu me demandes ... oĂč je suis ? VoilĂ , je suis simplement partie ... Je veux partir, mourir de cette vie Je veux aller dans cette autre pays Venise , Paris, Espagne, et Italie ... Peu importe, je te dis mon amie Le temps est lourd de plus en plus On m'a chassĂ©e j'ai trop couru . .. Tellement que je me suis perdue Et le froid de l'hiver m'est apparu Sans que l'on m'ait un peu secourue ... Je suis une enfant nomade des rues .. . J'irai me promener aux brouillards Des rues de Londres .. .et Ô cafard .. Je me ferai de plus en plus en retard .. . Au bord de la Tamise, les clochards Lutteront pour un triste nĂ©nuphar Tout bĂȘte et tout simplement blĂȘmard ClaironnĂ©e, bien fort aux quatre vents Ma tristesse, chantera l'idĂ©e du Levant À la naissance des premiers jaillissements Des premiĂšres eaux de vie du printemps Je voguerai en chantant mes gĂ©missements Vers les guitares de Madrid pleurant .... Mon amie, vois je suis dĂ©jĂ  partie LĂ , maintenant crois-moi je te prie Je fĂȘte mon premier matin de vie . . . L'aube se lĂšve sur mon Ă©trange lit VoilĂ , mon amie .. .ainsi ira ma vie Adieu ... prie pour mon paradis . .. Je suis reconnaissante de vivre . Je suis reconnaissante -pour toute la beautĂ© que j'ai vue -pour les pĂ©tales de satin de chaque rose rouge -pour les forĂȘts vertes . Je suis reconnaissante -pour la beautĂ© des couchers de soleil flamboyants sur le ciel de velours noir -pour les nuages qui dansent gracieusement . Je suis reconnaissante -pour la beautĂ© de chaque cascade de cristal, -pour les jonquilles au printemps -et les feuilles d'oranger de l'automne . Je suis reconnaissante -pour la beautĂ© des arcs en ciel -et l'herbe luxuriante dans la rosĂ©e du matin ................... Mais plus que tout .................. . Je suis reconnaissante - pour la beautĂ© que j'ai trouvĂ©e en toi. . À toi = toutes les femmes et les hommes qui savent le mot aimer PS Pourquoi tout le monde veut que son histoire d'amour triste se passe comme dans les films, alors qu'un film ne dure que 2 heures on maximum ???.. Histoire d'amour drĂŽle La meuf Tas une maison ? Le mec Non. La meuf T'as une Mercedes ? Le mec Non. La meuf Tu touches combien ? ... Le mec Rien mais ... La meuf Y'a pas de mais t'as rien et tu veux m Ă©pouser, casse-toi chez ta mere ! Le mec J’ai pas une maison, j’ai une villa, j'ai pas de Mercedes, j’ai une Ferrari et une Porsche, je ne touche rien, c'est moi le patron , et maintenant vas te faire foutretre chez ta mĂšre !
TheStanley Parable est un cas Ă  part sur pas mal de plans.Si les jeux nĂ©s Ă  partir du moteur Source, lui-mĂȘme hĂ©ritier de GoldSource qui faisait tourner Half-Life, sont lĂ©gion et ont
une idĂ©e tout simple peut devenir un grand filmBon, nous y voilĂ  ! Nous sommes encore loin de parler de rĂ©aliser un film, de plateau, d’équipe, de camĂ©ra ou de lumiĂšre. Parlons, si vous voulez bien, du cƓur de ce qui nous intĂ©resse L’histoire. Et pour avoir une histoire il nous faut une idĂ©e de scĂ©nario. Vous avez cette idĂ©e en tĂȘte car elle vous stimule, elle vit en vous. Vous devez la laisser sortir, c’est plus fort que vous vous ĂȘtes levĂ© avec la ferme intention d’écrire, poser la premiĂšre pierre de votre futur scĂ©nario/ film. Mais voilĂ , tout n’est pas si effet, vous avez votre idĂ©e. Elle vous semble super, peut-ĂȘtre la meilleure histoire Ă  laquelle vous ayez pensĂ© jusqu’alors. Tout content, vous en parlez Ă  vos proches mari ou femme, amis, parents
 et lĂ  c’est la possibilitĂ©sVotre entourage trouve votre histoire pas mal ou complĂ©tement idioteVous racontez votre idĂ©e, mais vous vous embourbez dans les explications, les dĂ©tails, bref la confusion s’installe. RĂ©sultat votre idĂ©e n’a pas le succĂšs que vous faites-vous confiance. Ça paraĂźt bĂȘte, mais si vous-mĂȘme vous ne croyez pas en ce que vous dites, comment ceux qui vous entourent y croiraient Ă  leur tour. De plus, ce n’est pas parce qu’autour de vous personne, ou plutĂŽt tout le monde trouve votre idĂ©e idiote, qu’elle l’est !!!!!!!!!lassedesignen/ shutterstockJe vais vous donner un exemple concret avec une idĂ©e de l’histoire d’un spĂ©cialiste des phĂ©nomĂšnes d’ovni. Depuis quelques temps, des faits Ă©tranges se produisent partout sur Terre. Il pense que des extraterrestres peuvent en ĂȘtre la cause. A l’autre bout du pays un autre homme assiste Ă  des apparitions lumineuses dans le ciel. Quelques jours plus tard, il a des visions du lieu oĂč les extraterrestres vont se en pensez quoi ? Moi je dirais tirĂ© par les cheveux, mal racontĂ©, ou encore mouais
bof. Je viens tout simplement de dire Ă  Steven Spielberg que son idĂ©e de rencontre du troisiĂšme type/ close encounters of the third kind est Ă  chier ! Vous voyez oĂč je veux en venir ? Si vous livrez votre idĂ©e brute, il y a de forte chance que cela fasse un flop. Alors que ça ne veut pas dire qu’elle soit mauvaise. N’est ce pas Steven ?Revenons Ă  la deuxiĂšme possibilitĂ©. Pour Ă©viter de vous embarquer dans des explications ou dĂ©tails qui n’en finissent plus, vous devez impĂ©rativement Ă©crire votre idĂ©e en quelques lignes 2 ou 3 pas plus. Et donnez des noms, mĂȘme provisoires Ă  vos personnages. Reprenons l’exemple de shutterstockClaude Lacombe est un spĂ©cialiste des OVNI. Alors qu’il est au Mexique, il retrouve des avions de la seconde guerre en parfait Ă©tat, alors qu’ils avaient disparu sans laisser de trace. D’autres phĂ©nomĂšnes Ă©tranges se produisent sur Terre. A l’autre bout du pays, Roy assiste Ă  l’apparition d’un OVNI. Quelques jours plus tard, Roy a de plus plus de visions sur l’endroit oĂč la rencontre va se dĂ©rouler
Vous voyez la diffĂ©rence ? J’ai juste ajoutĂ© des noms, un fait, un enjeu et ce n’est plus du tout la mĂȘme une chose concernant les retours de vos proches sur vos idĂ©es. Plusieurs d’entre vous me disent sur les forums A chaque fois que je raconte mon histoire, les rĂ©actions sont ah ! ça me fait penser Ă  tel ou tel film » Si vous vivez cela ne paniquez pas. Tous les sujets ont pour ainsi dire Ă©tĂ© traitĂ©s. Je pourrais vous donner une multitude de films qui parle de rencontres amoureuses, de trahisons, de gangsters ou encore d’extraterrestres
.votre sujet fera forcement penser Ă  un film, cela ne veut pas dire que les actions, les rebondissements, les personnages et leurs quĂȘtes seront les mĂȘmes. L’histoire que vous Ă©crivez et le traitement de celle-ci vont faire toute la diffĂ©rence. En un mot comme en cent laissez les gens Ă  vous de jouer. Prenez votre idĂ©e et synthĂ©tiser la en quelques phrases. Allez au plus simple. Dites vous bien une chose, si vous ne rĂ©ussissez pas Ă  faire cet exercice, c’est que votre idĂ©e est encore floue. Une idĂ©e floue pour vous, le sera immanquablement pour les autres
.Une derniĂšre chose. Nous avons vu dans le prĂ©cĂ©dent article que votre scĂ©nario a pour but d’ĂȘtre lu. Parfois mĂȘme vous allez devoir raconter l’histoire de vive voix, Ă  un producteur par exemple. Cette exercice vous permettra de savoir raconter pitcher votre histoire d’une façon claire et prĂ©cise, tout en suscitant le dĂ©sir d’en savoir plus
vous me suivez ?!Cela peut-ĂȘtrePierre est mariĂ© Ă  Fanny. Alors qu’il l’attend depuis une heure dans leur restaurant prĂ©fĂ©rĂ©, pour fĂȘter leur 15 Ăšme anniversaire de mariage, il la voit s’attabler avec un autre homme. IntriguĂ© Pierre se lĂšve et se dirige vers leur table. A sa grande surprise Fanny affirme ne pas le connaĂźtre
Grace Ă  cet exercice nous voyons les prĂ©mices du Synopsis, que nous verrons en dĂ©tail un peu plus tard, ne vous inquiĂ©tez pas. ATTENTION tout s’écrit au shutterstockRĂ©sumons il n’y a pas de mauvaises idĂ©esFaites-vous confianceNommer vos ou votre personnage principal/auxSynthĂ©tiser votre idĂ©e en 2 ou 3 phrases de c’est l’histoire d’un mec/ Ă©crit au prĂ©sentA vous de trouver une idĂ©e de scĂ©nario qui vous stimule ou qui vous fait tu as des questions n’hĂ©site pas Ă  me laisser un petit tu as aimĂ© cet article, la meilleure maniĂšre de me le dire c’est de cliquer sur le bouton Like » en bas de la page. Tu peux retourner au plan du site pour lire d’autres aimeras aussi les articles L’offre et la demande adapte ton histoireFaire un film pour la tĂ©lĂ© ou pour le cinĂ©ma ?Apprendre le cinĂ©maBon Courage,Tom
Entrezle texte de recherche C'est l'histoire d'un mec. parasar 16/04/2022. favorite favorites. bookmark bookmark. share share. Hier matin, je partais au boulot sous les rayons d’un soleil enfin franc, lĂ©ger sur mon vĂ©lo, en roue libre et vibrant sur les pavĂ©s, tel un flahute survitaminĂ©. Soudain un voile est venu recouvrir mon excursion vers la tour promise. Le changement climatique n AlliĂ©e de ma meilleure amieAmitiĂ©Bonjour, Je m’appelle Karen* et cette histoire ne me concerne pas directement, mais plutĂŽt ma meilleure a commencĂ© au collĂšge, j’étais en quatriĂšme et, Ă  la rentrĂ©e, je vois arriver une fille plutĂŽt renfermĂ©e sur elle-mĂȘme, Leana. J’apprends vite qu’elle
Admettre son homosexualitĂ© libĂšreAmour / QuestionnementsJe m’appelle Julien*, j’ai 20 ans et j’ai dĂ©couvert mon homosexualitĂ© trĂšs rĂ©cemment Ă  l’ñge de 18 ans. J’avais pour la premiĂšre fois des sentiments amoureux bien conscients pour un gars, malheureusement hĂ©tĂ©rosexuel. Le processus de cette dĂ©couverte a Ă©té Un parcours de montagnes russesFeel good Bonjour Ă  toutes. Je m’appelle Tommy*. Le temps est venu pour moi d’écrire mon parcours. Mes parents se sont sĂ©parĂ©s quand j’étais petit. J’ai un petit frĂšre avec qui j’ai toujours eu une trĂšs grande complicitĂ©. Alors, mon rĂŽle de
Coming out attends le bon momentComing outBonjour ! Moi c’est Gabin*, je suis en 2de gĂ©nĂ©rale et je compte Ă©tudier plus tard dans une filiĂšre assez scientifique. Allons droit au but le coming-out
 Je vais te raconter ma situation, ça te permettra de te situer
TrĂšs dur Ă  assumer
 mais tellement Ă©vident !Milieu scolaireJe m’appelle Tristan*, je suis un garçon de 17 ans. J’ai commencĂ© Ă  ĂȘtre attirĂ© par les garçons Ă  l’ñge de 14 ans, lorsque j’étais au collĂšge. Au dĂ©but c’était un peu bizarre car je me suis rendu compte que
Everything In Its Right PlaceComing out / Feel good / QuestionnementsÀ quelques jours de mes 18 ans. La tĂȘte rivĂ©e sur la vitre de la voiture qui nous conduisait, mon frĂšre, mes parents et moi, Ă  une exposition, j’observais avec attention — comme Ă  chaque fois que je passe à
Un peu de mon histoire et beaucoup d’espoirAmour / Coming out / FamilleSalut tout le monde ! Je m’appelle Lindsey* et j’ai 20 ans. Si vous me lisez, c’est qu’on traverse ou qu’on a traversĂ© des difficultĂ©s similaires. Si j’ai voulu Ă©crire ce tĂ©moignage, c’est pour vous montrer que vous n’ĂȘtes pas
J’ai dĂ©cidĂ© d’en faire un combat personnel !Feel good / Milieu scolaireJe m’appelle Angel*, j’ai 14 ans bientĂŽt 15 ans, je suis bie. Je ne l’ai su qu’il y a quelques mois, du moins je n’en ai Ă©tĂ© sĂ»re qu’au moment oĂč j’ai ressenti des sentiments trĂšs forts pour une fille.
Jamais je n’aurais cru vivre ça m’assumer et trouver quelqu’un !Amour / Coming out / Famille / Feel good / Milieu scolaire / QuestionnementsÉtant une visiteuse rĂ©guliĂšre du site, que je trouve vraiment bien fait et intĂ©ressant, j’avais envie de moi aussi tĂ©moigner depuis un moment. Alors, voilĂ , puisque j’en ai la possibilitĂ©, pourquoi ne pas contribuer Ă  ce site? Je ne sais
Plus jamais honte d’ĂȘtre moiAmitiĂ© / Amour / Coming out / Famille / Feel good / Milieu scolaire / QuestionnementsMon nom est Lorelei*, je vais avoir 16 ans le mois prochain. Au moment oĂč j’écris, je suis en classe de seconde au lycĂ©e, mais c’est dĂ©jĂ  bientĂŽt la fin de l’annĂ©e scolaire. J’ai commencĂ© Ă  prendre conscience du fait
Le plus beau de tous les Ă©tĂ©sAmour / Coming out / Famille / QuestionnementsBonjour, je m’appelle Assia, j’ai 16 ans et j’entre en premiĂšre Ă  la rentrĂ©e prochaine. 🙂Dans ce tĂ©moignage, je raconte mon expĂ©rience en tant que LGBT dans une famille musulmane mais pas que. Je vais Ă©galement parler de mes histoires
M’aime-t-il ?AmourSalut, moi c’est Jared*. Pas trĂšs grand, plutĂŽt mince, rien de spĂ©cial. Je viens de B***, une ville calme, trĂšs calme. Du moins c’est ce que je croyais
 Il y a un an, j’ai changĂ© d’établissement pour rentrer au lycĂ©e,
Plus fort que toutAmour / Coming out / FamilleJe m’appelle Olivia*, j’aimerais vous parler de mon histoire. Une histoire semĂ©e d’embĂ»ches, mais Ă  la fin de laquelle l’amour a vĂ©ritablement triomphĂ©. J’ai toujours su que j’aimais les femmes. DĂšs mes 9 ou 10 ans, j’ai Ă©tĂ© assez mĂ»re
J’ai envie que ça change !Coming out / FamilleJe m’appelle Suzanne*, j’ai 16 ans. Un jour, j’ai vraiment su que j’étais lesbienne parce que j’ai rencontrĂ© une fille avec laquelle je suis restĂ©e 2 ans et demi. Nous Ă©tions trĂšs fusionnelles. Pourtant, pendant cette relation, je suis tombĂ©e
Je garde tout pour moiMilieu scolaire / QuestionnementsJe m’appelle Charlotte, je suis en seconde, je vais bientĂŽt avoir 16 ans. Je suis dĂ©jĂ  sortie avec des garçons auparavant mais Ă  l’ñge de 14 ans, j’ai commencĂ© Ă  avoir des doutes sur ce que j’aimais vraiment. Tout d’abord
Comment on en est arrivĂ© lĂ Coming out / Famille / Milieu scolaire / QuestionnementsBonjour, j’ai 15 ans et je m’appelle Line*. Je vais rentrer au lycĂ©e et j’habite en France. J’aimerais vous faire part de mon orientation sur laquelle je pense ne pas me tromper mais que j’ai parfois du mal Ă  assumer.
HĂ©tĂ©ro pas pour toujoursQuestionnementsTout a vraiment commencĂ© il y a 1 an, vers juin/juillet 2016. J’ai 14 ans, je m’appelle Alyssia*, je suis officiellement hĂ©tĂ©ro pas pour toujours. Je me suis mise en couple avec un garçon mais il ne me comblait apparemment
Être homosexuelle, un combat quotidienAmour / QuestionnementsJe vais vous raconter ma rencontre avec une fille. Cette fille, c’est un stĂ©rĂ©otype Ă  elle toute seule. Cheveux courts, teinture bleue, piercing et Ă©carteur, tenue baba cool, dĂ©marche de garçon, littĂ©raire, fan d’opĂ©ra et de théùtre, vĂ©gĂ©tarienne, Ă©colo
 Vraiment,
Handicap et bisexualitĂ©Amour / Famille / QuestionnementsTout d’abord, il faut savoir que je suis handicapĂ©e et ai dĂ» subir plusieurs opĂ©rations dans mon enfance. Je ne peux pas Ă©crire dysgraphie et suis obligĂ©e d’utiliser un ordinateur. Par ailleurs, j’ai du mal Ă  maĂźtriser mes Ă©motions ou
Assumer rĂ©ellementAmour / QuestionnementsJe m’appelle Klara, je viens d’avoir 18 ans et je suis en Terminale. AprĂšs avoir lu de nombreux tĂ©moignages, j’ai dĂ©cidĂ© de livrer mon histoire. Certes je n’ai pas une grande expĂ©rience vu mon Ăąge, nĂ©anmoins je pense que mon
Coup de foudre dans un trainAmourBonjour, je me prĂ©sente RaphaĂ«l*, 20 ans depuis peu, Ă©tudiant en communication. Je vis vers Caen dans une petite ville bien paisible. Aujourd’hui, je prends l’initiative de partager mon histoire et plus particuliĂšrement, ce que je peux ressentir pour
Remise en questionComing out / Famille / QuestionnementsJe m’appelle Laetitia*, j’ai 17 ans et j’ai annoncĂ© hier soir mon attirance pour les filles Ă  mon pĂšre. Ma mĂšre et certains de mes proches le savaient dĂ©jĂ . Quand je leur ai annoncĂ©, je me suis sentie d’une part
J’aime les garçons, mais je prĂ©fĂšre les fillesAmour / Coming out / Famille / Milieu scolaireBonjour, je voudrais vous partager mon tĂ©moignage quand Ă  mon coming-out qui a Ă©tĂ© compliquĂ©. Comme je viens de Belgique, il est possible que des belgiscisme se glissent dans le texte. J’ai quand mĂȘme changĂ© les noms des annĂ©es à
Ce vide dans mon cƓurAmour / Milieu scolaire / QuestionnementsBonjour, Je m’appelle StĂ©phane*, j’ai 16 ans, je vis dans le Nord 59 et j’ai envie de partager mon collĂšge et ses annĂ©es difficiles nous ont pour la plupart affectĂ©s – du moins, c’est mon impression. Quand on dĂ©couvre
Aime-toi !QuestionnementsJe suis de nature trĂšs pudique, je ne suis pas quelqu’un qui aime se plaindre et je prĂ©fĂšre garder mes Ă©motions pour moi. Alors, j’essaye de toujours garder le sourire. Je me dis que ça peut faire du bien aux
Six ans de “coma”QuestionnementsJe vais bientĂŽt avoir 22 ans. J’ai besoin de tĂ©moigner pour poser des mots et aussi avoir une rĂ©ponse en retour. Je crois que j’ai toujours refoulĂ© mon homosexualitĂ©. Quand j’avais 15 ans, j’ai remarquĂ© Ă  quel point j’étais attirĂ©e
BiromantiqueAmourJe m’appelle Audrey*, et je suis en seconde. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais j’ai eu envie de raconter mon histoire. Cette annĂ©e, c’était un tout nouveau monde qui s’offrait Ă  moi. À la rentrĂ©e, je ne connaissais personne dans tout
Je me connais mieuxAmour / QuestionnementsBonjour, AprĂšs avoir lu quelques tĂ©moignages, je me suis rendu compte que faire cela pouvait ĂȘtre positif pour l’acceptation de certains Ă©vĂ©nements dans une vie. Du coup je me propose vous faire part de mon expĂ©rience homosexuelle qui est, je
Je ne m’assume pas totalementComing out / FamilleJe m’appelle KĂ©vin*, j’ai 18 ans, je suis originaire d’une petite ville des Deux-SĂšvres 79 et je voulais vous faire part de mon histoire. Quand j’étais petit, j’ai toujours eu une attirance pour les filles, je suis mĂȘme sorti avec
La face cachĂ©e du bonheurAmour / Coming out / FamilleJe vous fais part de mon tĂ©moignage concernant ma premiĂšre histoire d’amour. Un mĂ©lange entre passion et dĂ©sillusion. L’histoire est un peu longue mais j’ai essayĂ© de faire au plus court en ne rĂ©unissant que les points les plus importants.
Plus rien Ă  cacherComing out / Feel good / QuestionnementsBonjour, Je m’appelle Morgane*, j’ai 20 ans et je suis Ă©tudiante. Je devais avoir 16 ans quand j’ai commencĂ© Ă  me poser des questions sur ma sexualitĂ©. En effet, au lycĂ©e, j’ai commencĂ© Ă  avoir des sentiments plus qu’amicaux envers
Le regard sur soi est plus important que le regard des autresComing out / Feel good / QuestionnementsJe m’appelle BenoĂźt*, j’ai 17 ans mais je n’ai pris conscience que rĂ©cemment du fait que je suis rĂ©ellement gay. Avant cela, j’avais bel et bien remarquĂ© mon attirance pour les garçons mais je me disais que c’était liĂ© à
C’est juste de l’amourAmitiĂ© / Coming out / Famille / Feel good Bonjour, je me nomme Greg*, j’ai 17 ans. Je vous Ă©cris pour parler de moi mais surtout pour aider les autres. J’aime beaucoup Ă©crire, surtout quand c’est un sujet qui me tient Ă  cƓur. VoilĂ , alors depuis bientĂŽt quatre ans,
Une libĂ©ration progressiveComing out / QuestionnementsBonjour Ă  tous, j’ai dĂ©couvert C’est comme ça par hasard, lu de nombreux tĂ©moignages qui m’ont plutĂŽt Ă©mu, et j’ai dĂ©cidĂ© de me lancer dans le mien. Je m’appelle Brayan*, 16 ans, et j’ai ainsi dĂ©couvert ou du moins, pris
Je m’assume ! Mais je me sens seul
Coming out / Famille / Milieu scolaireJe m’appelle Bastien*, j’ai 17 ans et je vis dans une petite ville prĂšs de Nantes. Depuis l’école primaire, j’ai Ă©tĂ© insultĂ© avec des mots comme “pĂ©dĂ©â€ ou “sale gay” par des personnes mĂ©chantes Ă  qui je ne faisais rien
AdĂšle Ă©tait parfaiteAmour / Coming outBonjour, Je m’appelle Amae*, j’ai 15 ans et souhaite vous faire part de mon expĂ©rience homosexuelle, qui n’est ni nĂ©gative ni vraiment positive. Peut ĂȘtre que cela me soulage d’en parler, mĂȘme si je suis bien entourĂ©e. C’est sans doute
Un rude apprentissageComing out / Famille / Milieu scolaire / QuestionnementsBonjour, je m’appelle Camille*, j’ai 14 ans et je vis dans la NiĂšvre, en Bourgogne. Je n’aurais jamais pensĂ© Ă©crire mon histoire, mais en ce moment, l’envie se fait plus que pressante et j’ai besoin d’extĂ©rioriser tout cela. Je commencerai
Deux coming-outComing outJe m’appelle Aure*, j’ai 20 ans et j’habite prĂšs de Pontoise. Je ne sais pas si mon tĂ©moignage pourra aider les personnes comme moi. J’ai lu quelques tĂ©moignages et je ne me suis pas reconnue dedans
 J’aimerais parler de ma
Mon homosexualitĂ© a fait de moi qui je suisComing out / QuestionnementsBonjour, je m’appelle Malo*, j’ai 15 ans, j’habite en Bretagne prĂšs de Rennes et je suis en seconde. Je vais vous raconter l’acceptation de mon homosexualitĂ© au fil des annĂ©es bien qu’elle ne soit pas totalement terminĂ©e puisque je n’ai
Je ne veux pas me battre pour aimerQuestionnementsBonjour, Je m’appelle Audrey*, j’ai 21 ans et je dĂ©cide pour la premiĂšre fois de parler de ma bisexualitĂ©. Bien qu’aujourd’hui la plupart des gens de mon entourage soient au courant, je pense que personne ne sait rĂ©ellement comment je
ItinĂ©raire d’un p’tit garsComing out / Famille / Milieu scolaireBonjour, je m’appelle Alexis*, j’ai 20 ans et je viens des Vosges mais je suis nĂ© en Alsace. Tout a commencĂ© en septembre 2009, Ă  l’arrivĂ©e dans mon nouveau lycĂ©e pour des raisons de localisation, je dus devenir interne.
Rien n’est perdu d’avanceAmour / Coming out / FamilleBonjour! Je m’appelle Nina*, j’ai maintenant 19 ans et ceci est la deuxiĂšme fois que je commence Ă  Ă©crire un tĂ©moignage pour ce site. La premiĂšre fois, je ne l’ai pas envoyĂ©, par peur que, malgrĂ© les prĂ©noms changĂ©s, certaines
Apprendre Ă  se sentir bi-enComing out / Feel good / QuestionnementsJe m’appelle Antoine*, j’ai 17 ans et je suis bisexuel. Je ne sais pas depuis quand je le suis, mais il y a environ un an et demi que j’ai commencĂ© Ă  accepter qui je suis. Petit j’ai vite compris
You Are All I See*Coming out / Feel good / QuestionnementsBonjour! Je m’appelle ClĂ©mence**, j’ai quinze ans depuis peu et je suis homosexuelle. Oui, lĂ  je le dis, clairement, et dans la vraie vie j’en suis presque au mĂȘme point. Mais bon, il m’a fallu beaucoup de temps pour en
La banalitĂ© de l’homosexualitĂ©AmitiĂ© / Coming out / Famille / Feel good Salut tout le monde, je m’appelle Guillaume*, j’ai 17 ans et je suis en terminale dans un lycĂ©e de l’Est parisien. AprĂšs tous les tĂ©moignages que j’ai lus sur votre site, je me suis dit qu’il Ă©tait temps que je
HomosexualitĂ© un fardeau ?Par oĂč commencer ? On vous dira sĂ»rement que c’est facile Ă  assumer et que vous y parviendrez facilement – ce qui n’est pas si faux que ça – mais vous penserez sans nul doute que c’est plus facile à
Un combat pour la libertĂ© d’aimerBonjour tout le monde. Je m’appelle Sandrine*, j’habite dans la NiĂšvre et j’ai 15 ans. J’ai longtemps hĂ©sitĂ© Ă  Ă©crire ce message car j’avais peur d’ĂȘtre reconnue, mais finalement je m’en moque. J’ai dĂ©couvert que j’étais lesbienne en mars/avril 2010
L’exploration d’une nouvelle vieBonjour, je m’appelle Aaron*, j’ai 17 ans et je vais vous parler un peu de moi, mon histoire depuis que j’ai su que je n’étais pas comme les autres. Je pense avoir su que j’étais diffĂ©rent pendant mes annĂ©es d’école
ConnaĂźtre, comprendre et accepterJe m’appelle HĂ©lĂšne*, j’ai 19ans et j’habite prĂšs de Clermont Ferrand. Je voulais envoyer mon tĂ©moignage, mais en rĂ©alitĂ© je ne sais pas s’il sera vraiment utile Ă  quelqu’un, vu que je n’ai pas trouvĂ© de personne dans ma situation,
La crainte de l’homosexualitĂ©Salut, Je suis un bachelier, j’ai 18 ans et je vis en AlgĂ©rie. J’ai rĂ©alisĂ© l’an passĂ© que je suis bisexuel. Bon, je vais vous raconter mon histoire. À l’école primaire, je sortais avec des filles, je tombais amoureux, mais en
J’aimerais vraiment leur direJe viens vous Ă©crire car je suis bisexuelle, je sors avec une fille depuis un mois, et j’ai de gros soucis avec mes parents. Ils sont homophobes. Ils prĂ©tendent que non, mais si vous saviez les horreurs qu’ils disent surtout
La poĂ©sie des invertisJe m’appelle Maylis* et j’ai 15 ans. Cela fait environ six mois que je me pose des questions sur moi, sur mon entourage et sur mon avenir, comme beaucoup d’adolescents souvent du mĂȘme Ăąge. Parmi toutes ses questions qui me
Tout Ă©tait si parfaitBonjour, je m’appelle Tom*, j’ai 15 ans et je vis Ă  Montpellier avec mes parents, mon frĂšre et ma sƓur. Alors si je suis ici c’est pour vous raconter mon histoire. Vers l’ñge de mes 13 ans, en cinquiĂšme, j’ai
Aimer, tout simplementMoi c’est Sophie* et j’ai 17 ans. Je me suis dĂ©couverte lesbienne Ă  l’ñge de 11 ans et au fond, je sens que je suis nĂ©e comme ça, que j’ai toujours prĂ©fĂ©rĂ© les filles aux garçons. Cela explique peut-ĂȘtre pourquoi,
Ma vie a changĂ©Bonjour je m’appelle ClĂ©ment et j’ai aujourd’hui 15 ans. Je vais vous parler de mon enfance, de mes annĂ©es collĂšge et de mon coming d’abord quand j’étais petit j’étais bien diffĂ©rent des autres petits garçons de mon Ăąge 
S’accomplir pas Ă  pasVoilĂ , je m’appelle Thomas*, j’ai 20 ans. Je vais vous raconter ce qui s’est passĂ© dans ma vie. Je sais que je suis attirĂ© par les garçons depuis des annĂ©es ça a commencĂ© trĂšs tĂŽt, au collĂšge. J’ai eu
Aimer au-delĂ  du genreBonjour, je suis tombĂ©e sur votre site par hasard, et j’ai eu envie, moi aussi, de tĂ©moigner, car je pense que cela peut me faire beaucoup de bien et aussi, je l’espĂšre, aider d’autres personnes. Mon tĂ©moignage traite de bisexualitĂ©.
Une annĂ©e de dĂ©couverteJe fais ce tĂ©moignage dans le but que, peut-ĂȘtre, celui-ci aide des homosexuel-le-s Ă  s’accepter. J’ai 16 ans et je peux maintenant dire que je suis fier d’ĂȘtre homosexuel ! AprĂšs tout, c’est ce que je suis et rien ne
Vivre ses attirances au MarocJe m’appelle Candyce*, j’ai 14 ans et donc je suis actuellement en quatriĂšme. Je sais, je suis “jeune” mais ça va bientĂŽt faire 2 ans que j’ai compris mon attirance envers les crois que ce qui me pose le
Vivre dans la peurJe m’appelle Joan*. J’ai 18 ans et je suis Ă©tudiante. Je tiens aujourd’hui Ă  parler de mon homosexualitĂ©, car j’ai besoin de me libĂ©rer, de me sentir mieux, face Ă  mon tĂ©moignage. Peut-ĂȘtre certaines personnes pourront me comprendre Ă  travers
La blessure de l’homophobieBonjour, J’ai 18 ans et suis scolarisĂ© dans un lycĂ©e privĂ© catholique. En toute sincĂ©ritĂ©, je suis heureux de quitter cet Ă©tablissement Ă  la fin de mon annĂ©e de classe de terminale littĂ©raire. Heureux, parce que je ne vais plus
Mes annĂ©es de collĂšgeBonjour, je m’appelle Laura* et je suis actuellement en classe de premiĂšre littĂ©raire avec une option lourde musique. J’ai donc bientĂŽt dix-sept ans mais c’est bien plus tĂŽt que je compris mon attirance pour les filles. C’était vers mes 11-12
Mon cheminPour commencer, je me prĂ©sente moi c’est Harry, 15 ans et quelques mois
 Je vis dans le dĂ©partement de l’Oise, en Picardie. Actuellement en seconde, je suis ouvertement gay depuis la quatriĂšme. C’est mon parcours que je vais aujourd’hui
S’épanouir au lycĂ©eEuh voilĂ , je ne sais pas trop comment commencer Ă  raconter mon histoire ni Ă  partir de quand. D’abord je commence par me prĂ©senter rapidement je m’appelle Clara*, j’ai 15 ans, j’habite en banlieue parisienne et je rentre cette
Un long chemin Ă  parcourirJ’ai 17 ans, et je suis bisexuel. En Ă©crivant ce tĂ©moignage, je veux faire passer un message. Sachant comme il est dur de se trouver et de s’accepter, je tiens Ă  montrer Ă  tous que la dĂ©couverte et l’acceptation de
Une homosexualitĂ© assumĂ©e loin de ses prochesAlors voilĂ  moi c’est Erika*, j’ai 20 ans et j’ai dĂ©couvert mon attirance pour les filles en juin 2008 j’avais 16 ans. A cette Ă©poque pour moi c’était dĂ©jĂ  quelque chose de normal je ne trouvais pas d’immoralitĂ© lĂ -dedans
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Ma BisexualitĂ©J’ai dĂ©couvert ma bisexualitĂ© Ă  l’ñge de 15 ans. L’idĂ©e de deux femmes ou mĂȘme deux hommes ayant des rapports sexuels ne m’avait jamais choquĂ©e ou dĂ©goutĂ©e, ayant grandi dans une famille trĂšs tolĂ©rante et ouverte Ă  la discussion. Cependant,
Fier d’ĂȘtre gay !Bonjour, je m’appelle Tommy* et j’ai 19 ans. Je vais vous raconter mes premiĂšres annĂ©es de collĂšge oĂč je me suis aperçu que j’étais homosexuel et aussi, mon coming-out. Alors que j’avais 13 ans, je commençais Ă  remarquer que je
Une annĂ©e bouleversanteJe m’appelle Tobias. Bien sĂ»r ce n’est pas mon vrai nom, je l’ai piquĂ© Ă  une sĂ©rie de livre que j’adorais quand j’étais petit, une sĂ©rie qui parle d’adolescents anonymes troublĂ©s, qui ne savent plus trop oĂč ils en sont.
Amour impossible et homophobie au lycĂ©eJe me prĂ©sente en quelques lignes
 Je m’appelle Julien* et j’habite dans l’Oise en Picardie. Je vais vous parler de l’annĂ©e qui s’est Ă©coulĂ©e et qui fut trĂšs pĂ©nible pour moi. Depuis Ă  peu prĂšs deux ans, je chante dans
Un nouveau rapprochement !Je m’appelle Nikolaz* et j’ai 16 ans. J’ai commencĂ© Ă  comprendre mon homosexualitĂ© aux alentours de mes 11, 12 ans. A cet Ăąge-lĂ , j’ai observĂ© mon entourage et j’ai pu remarquer que je n’avais pas de petite copine, cela m’avait
Moi ? Homo ?Bonjour Ă  toutes et Ă  tous. Je m’appelle Alexia*, j’ai 21 ans et j’aime les femmes. Tout a commencĂ© lorsque je suis arrivĂ©e Ă  l’école primaire. J’avais beaucoup “d’amoureux” Ă  l’époque, et cela me plaisait d’avoir des prĂ©tendants et d’avoir
Un coming out au lycĂ©e
 en douceurComing out / Feel good / Milieu scolaireJe m’appelle Florent, j’ai 23 ans aujourd’hui, et j’ai fait mon coming out lorsque j’avais 17 ans et que j’étudiais dans un lycĂ©e agricole, en internat. A l’époque, j’étais fou amoureux d’un de mes camarades de chambrĂ©e et mĂȘme si
Exclues de l’internat pour s’ĂȘtre embrassĂ©esMilieu scolaireJe vous Ă©cris parce qu’il y a une fille qui a Ă©tĂ© exclue dans le lycĂ©e oĂč je suis, il y a environ un mois, avant les vacances. Elle Ă©tait en couple avec une autre fille et elle a Ă©té Vivre avec un masqueJe m’appelle JĂ©rĂ©my. J’ai 18 ans, et je suis Ă©tudiant en facultĂ© de droit. Je tiens Ă  tĂ©moigner sur mon homosexualitĂ©, car cela fait bien trop longtemps que je la cache. En rĂ©alitĂ©, cela fait trĂšs peu de temps que
BrutalisĂ©e aprĂšs avoir dĂ©fendu un ami gayAmitiĂ© / Milieu scolaireJe vous Ă©cris car mon meilleur ami homosexuel a changĂ© de collĂšge parce qu’il Ă©tait victime d’homophobie. Julien* m’a confiĂ© son homosexualitĂ© il y a un an de cela. C’était la premiĂšre fois qu’il en parlait, et il a dit
Un coup de foudre au lycĂ©e malgrĂ© le regard des autresJ’ai 16 ans et je suis lesbienne. Il y a quelque mois, j’ai eu ma rentrĂ©e au lycĂ©e dĂ©but septembre, et j’ai flashĂ© sur une fille que je ne connaissais pas. L’avoir vue a suffi pour que je sache que
Mon homosexualitĂ© Ă  moitiĂ© assumĂ©eAmitiĂ© / Coming out / Famille / QuestionnementsBonjour Ă  toutes et Ă  tous. Je m’appelle Émilie, j’ai 15 ans bientĂŽt 16 et je suis lesbienne. Aujourd’hui, je vis une relation fantastique avec une jolie jeune fille et je suis heureuse. J’ai dĂ©couvert que j’étais lesbienne Ă  14
Mon cheminComing outJ’ai 19 ans et je vis seul depuis six mois maintenant. Depuis, j’ai changĂ© ma garde-robe et je vis quasiment 24h/24 en fille. Au dĂ©but, j’ai cru que c’était juste un fantasme, mais en fait, je crois que c’est la
Un message d’espoirFeel good Bonjour je vous envoie un mail pour partager un tĂ©moignage qui est un peu plus heureux que ceux que j’ai lus sur C’est comme ça, et j’espĂšre que ça redonnera de l’espoir Ă  certaines personnes qui vivent mal leur homosexualité  J’ai
DiscriminĂ©es par un enseignantMilieu scolaireJe suis actuellement en terminale et ma copine en seconde dans le mĂȘme lycĂ©e que moi. J’ai 18 ans et elle en a 16. Nous ne nous cachons pas dans le lycĂ©e, tout le monde sait que nous sommes ensemble
Comment le dire Ă  mon meilleur ami alors que personne ne s’en doute ?Coming outTout d’abord je me prĂ©sente je m’appelle Charly, j’ai 15 ans et je suis homosexuel. Dire que je suis homosexuel sur Internet est pour moi plutĂŽt facile mais dans la vraie vie c’est bien diffĂ©rent. Dans la vraie vie
J’aurais aimĂ© me battre pour notre causeFamilleJe souhaite tĂ©moigner pour montrer que les peurs et la solitude que l’on peut ressentir quand on est homo sont toujours prĂ©sentes. En effet j’habite prĂšs de Nantes et le week end prochain il y a la gaypride. Je comptais
Un coup de foudre, et tout devient plus clairAmour / Coming out / Famille / QuestionnementsBonjour Ă  tous, je m’appelle Anthony, dix-huit ans depuis peu. Actuellement je suis en classe de terminale. Ce sera suffisant pour la prĂ©sentation, passons au vif du sujet, mon homosexualitĂ©, que je pourrais Ă©galement appeler ma fiertĂ© dĂ©sormais ! Tout
On m’a volĂ© mon coming-outFamille / QuestionnementsBonjour, je m’appelle Alexandre, j’ai 18 ans et je suis censĂ© ĂȘtre homosexuel, mais j’ai de plus en plus de doutes Ă  ce sujet. Mon histoire n’est pas vraiment comme celle des autres ou peut-ĂȘtre pas. En effet, je vois
Bie et heureuseQuestionnementsJe suis bie, et je voulais tĂ©moigner que ce n’est pas toujours facile de le rĂ©aliser ! J’ai eu une petite amie quand j’étais plus jeune, et maintenant je suis avec un garçon. J’étais amoureuse de cette fille, tout comme
Mon homosexualitĂ© et mon enfance, deux choses liĂ©esBonjour ! Alors, je vais me prĂ©senter en premier lieu ! J’ai 17 ans, je vis en Suisse et je suis gay. Je n’ai plus honte de le cacher maintenant, sauf Ă  mes parents Ă  cause de la religion. Alors,
Une relation douloureuse et culpabilisanteJ’ai 19 ans et j’ai fini l’école en juin. Actuellement je recherche un travail de secrĂ©taire mĂ©dicale. Il y a deux ans de ça, j’ai dĂ©couvert mon homosexualitĂ©. J’ai eu du mal Ă  en parler mais j’ai trouvĂ© une personne
Une rĂ©vĂ©lation progressiveComing out / Famille / QuestionnementsBonjour, Je m’appelle Florent, j’ai 21 ans et je suis bisexuel. Je tiens Ă  tĂ©moigner mĂȘme si je ne sais pas trop quoi raconter, si ce n’est qu’assumer ma bisexualitĂ© fut un parcours du combattant assez douloureux et qui n’est
Un jour, j’ai compris. Ensuite, j’ai / Milieu scolaire / QuestionnementsJe suis en seconde dans un lycĂ©e de province, j’ai 15 ans. Aujourd’hui, je sais que je suis homosexuel et je l’accepte. D’une certaine maniĂšre, je l’ai toujours su, tout en dĂ©testant cette attirance pour les garçons qui grandissait en

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ĐŁ Ń…Ï…Őłá‰©ÏƒÎ‘ŃĐČÎ”Ń€Đ°Đ¶Ńƒ Μቱ áŒ»áˆ­Ń€áˆáˆƒáŠčĐ»áŒĄĐ·ĐŸ
LaTurquie, en forme longue la rĂ©publique de Turquie, en turc : TĂŒrkiye et TĂŒrkiye Cumhuriyeti prononciation, est un pays transcontinental situĂ© aux confins de l'Asie et de l'Europe.Elle a des frontiĂšres avec la GrĂšce et la Bulgarie Ă  l'ouest-nord-ouest, la GĂ©orgie et l'ArmĂ©nie Ă  l'est-nord-est, l'AzerbaĂŻdjan (Nakhitchevan) et l'Iran Ă  l'est, l'Irak (Gouvernement rĂ©gional du
- Bonjour Doc
Mes paroles se sont dissipĂ©es en plein vol. Ce n’était pas le Docteur LEGENDRE qui venait de m’ouvrir la porte. C’était
 C’était ce jeune gars qui
 Que j’avais vu
C’était il y a deux jours. J’étais en manque. En manque grave. Un impĂ©rieux besoin ; un besoin de sexe mĂąle ; devant moi ; contre moi ; en moi 
 Depuis dix jours en vacances en famille, je n’avais pas trouvĂ© de garçon avec qui jouer intimement. A croire qu’ils sont tous hĂ©tĂ©ros par ici. Mes potes de sexe Ă©taient bien loin d’ici. Et moi je n’en pouvais plus
Alors j’ai fait ce que j’avais toujours trouvĂ© glauque et nul j’ai surfĂ© sur le net pour trouver les lieux de rencontre gay de la rĂ©gion. Trouver un mec avec qui tirer un coup. Peu importe qui. Pourvu qu’il soit bien montĂ© et qu’il me fasse bien repĂ©rĂ© un lieu, Ă  quelques kilomĂštres de lĂ . J’ai hĂ©sitĂ© encore 24h. Et puis en fin de journĂ©e j’ai pris la voiture et y suis allĂ©. Un parking isolĂ© en bordure de forĂȘt. Deux ou trois voitures dĂ©jĂ  garĂ©es. Que des mecs seuls dedans. Des mecs au regard voiture familiale s’est garĂ©e. Un couple et deux enfants en sont sortis. Le pĂšre a ouvert le coffre et en a sorti des paires de bottes. Le temps qu’ils se mettent en tenue, une vieille clio s’est garĂ©e. Un jeune gars en est sorti. Un beau mec, brun, athlĂ©tique, souriant. Tout comme je les aime. Tous les regards des hommes dans les voitures se sont tournĂ©s vers lui. Nous Ă©tions quatre Ă  le mater telle une proie sur laquelle nous allions j’ai hĂ©sitĂ© trop de monde. Et puis cette famille
 Un premier mec est sorti de sa voiture et est allĂ© discuter avec lui. L’échange n’a pas durĂ© deux minutes. Aux signes de tĂȘte du jeune gars, j’ai compris qu’il n’était pas intĂ©ressĂ©. Logique, l’autre avait plus de quarante ans, un ventre proĂ©minent, un visage peu avenant. Acceptant sa dĂ©faite, il est retournĂ© dans sa posĂ© ma main sur la portiĂšre. Trop lent. Un autre type est sorti de sa voiture et est allĂ© vers lui. La trentaine, plutĂŽt bien foutu malgrĂ© sa calvitie. La mĂšre de famille les a regardĂ©s d’un air agressif avant de s’éloigner avec sa marmaille et son homme. Ils ont discutĂ© un moment. Quand ma cible a Ă©clatĂ© de rire, j’ai compris que c’était mort pour se sont effectivement Ă©loignĂ©s joyeusement vers les bois les plus touffus. En passant non loin de mon auto, il m’a regardĂ© succinctement Ă  travers le parebrise, a hochĂ© la tĂȘte et a souri. Et moi je me suis traitĂ© de con, de nul, de mĂ©diocre abruti avec ma queue tendue et raide dans mon pantalon sans caleçon. Je venais de rater une belle occasion
Le gros mec s’est dirigĂ© vers ma voiture. Il s’est campĂ© devant la fenĂȘtre du conducteur et m’a regardĂ©. J’ai tournĂ© la tĂȘte vers lui, l’air impassible. Il m’a demandĂ© tu veux ? ». Je n’ai pas rĂ©pondu. Alors il a dĂ©grafĂ© son pantalon et m’a prĂ©sentĂ© une teub d’une trĂšs belle taille, bandĂ©e Ă  bloc. Il a topĂ© contre la vitre. Pris de panique, je l’ai baissĂ©e Tu veux me sucer ? Elle est belle et bonne, tu sais ! Et puis aprĂšs je te suce Ă  mon tour
 Je suis sĂ»r que tu en as trĂšs envie !- Je
 Non
 Non merci
 C’est gentil mais
 Non
- Et ben mon gars, tu ne sais pas ce que tu veux, toi. Je t’offre une magnifique queue et tu refuses le cadeau ? Allons, laisse-toi aller
 Si tu veux c’est moi qui commence Ă  te sucer
 J’ai une bouche magique et gourmande, tu sais
L’homme a insistĂ© encore un petit moment. J’ai remontĂ© ma fenĂȘtre. Je n’ai pas bronchĂ©. Alors, en donnant un coup de poing Ă©nervĂ© contre la portiĂšre, il s’est Ă©loignĂ© dans la forĂȘt d’un pas suis restĂ© comme pĂ©trifiĂ© un moment, me rendant compte que je venais d’échapper Ă  un truc nul et potentiellement violent. Qu’est-ce que je faisais lĂ  ? Moi, un jeune gars, prĂȘt Ă  me faire mettre par des vieux vicelards excitĂ©s
 N’importe quoi
Un autre mec, plutĂŽt la cinquantaine, mais visiblement sportif, lui, s’est approchĂ©. Il s’est mis Ă  me parler sans me demander de baisser ma fenĂȘtre ou d’ouvrir une Tu as bien fait de refuser. C’est un gros cochon qui ne maĂźtrise pas ses pulsions
 Je sais de quoi je parle j’ai donnĂ© une fois ! Un bon coup, nĂ©anmoins
 Mais tu es trop jeune, tu ne devrais pas trainer par ici
Je l’ai regardĂ©, curieux de comprendre ce que ce type qui avait les mĂȘmes pulsions que moi allait faire. Il a poursuivi son propos sur le mĂȘme thĂšme ce parking c’est fait pour les vieux comme lui, pas pour les jeunes comme regard franc, son air civilisĂ© contrastant avec l’autre bĂȘte en rut, je suis sorti de ma voiture. AdossĂ© contre ma portiĂšre, j’ai un peu C’est vrai
 Mais je n’ai pas de pote ici
 Et je suis trĂšs excité - Je comprends bien
 Moi aussi
 Une furieuse envie de dĂ©charger avec un homme
 Mais tu ne devrais pas
 Pas ici
 Tu prends trop de risque
 Trop de prĂ©dateurs
- Pas seulement apparemment. Vous n’avez pas l’air comme eux
- J’essaie de me tenir
 Mais quand je commence Ă  baiser
 Je ne peux plus m’arrĂȘter
J’ai Ă©clatĂ© de Ca me semble normal ! Moi aussi ! Quand on commence, il faut aller jusqu’au bout !Nous avons discutĂ© un petit quart d’heure de choses trĂšs sexe. Jamais je ne m’étais livrĂ© autant, aussi crument, sur mes envies et mes expĂ©riences. Et ce que le type m’a racontĂ© Ă©tait encore plus chaud voire franchement j’ai fini par comprendre. Il me racontait ses expĂ©riences bestiales de mec qui tire un coup sans blabla avec des inconnus. Histoire de me dĂ©gouter et de me dĂ©tourner de cette Ca va
 J’ai compris. Il ne faut pas que je reste là
- Ni que tu y reviennes
 MĂȘme si tu as les bourses pleines !- Il faut bien les dĂ©charger, pourtant
- Si tu veux on peut se faire une petite branlette vide-couilles avant de partir
Etait-ce de l’hĂ©sitation ? Ou de l’excitation ? Toujours est-il qu’aprĂšs un silence j’ai simplement rĂ©pondu oĂč ? ».Il m’a entrainĂ© un peu plus loin, au milieu d’un sous-bois plus Ă©pais, m’a souri et s’est entiĂšrement dĂ©sapĂ©. Je suis restĂ© bĂ©at d’admiration devant son corps fin et musclĂ©, son ventre plat qui dĂ©bouchant sur un pubis entiĂšrement Ă©pilĂ© sous lequel une superbe verge commençait Ă  s’ Ne me regarde pas comme cela, je vais rougir c’est la pratique rĂ©guliĂšre du sport qui me permet de me maintenir
-Ouah
 Super bien
- Foutu. Je prĂ©fĂšre foutu » Ă  conservĂ© » - Super bien foutu !Il s’est retournĂ© d’un air J’aime bien mes fesses aussi. Qu’en penses-tu ?- Sympa ! MusclĂ©es ! Joli cul !- Merci
 Si tu as envie d’y pĂ©nĂ©trer pour jouer dedans, n’hĂ©sites pas !- Euh
 Non
 Juste une branlette
 C’est cela qu’on a dit
- Absolument ! Mais tu as le droit de changer d’avis
 Cela Ă©tant, si tu veux juste une sĂ©ance de masturbation, on se contente de cela !- Je prĂ©fĂšre
- Pas de problĂšme. C’est ok pour me doutais bien que c’était ok pour lui, Ă  voir un superbe braquemart fin et Ă©lĂ©gant, d’une vingtaine de centimĂštres de longueur, maintenant tendu vers moi. Je me suis mis Ă  mon tour Ă  poils. Je bandais tellement dans mon jean que j’ai dĂ» me contorsionner pour le retirer, ce qui l’a fait nous nous sommes branlĂ©s, l’un en face de l’autre, nous accompagnement du regard, encouragĂ©s par les rĂąles rauques que nous Ă©mettions sans il a joui sur moi brusquement, lĂąchant un petit cri grave en Ă©jaculant une belle quantitĂ© de sperme bien chaud et Ă©pais. J’ai regardĂ© mon ventre maculĂ© de sa semence, ses yeux exorbitĂ©s aprĂšs l’orgasme, sa bouche stupidement ouverte, et je me suis fini sauvagement, jouissant Ă  mon tour sur son sexe et son bas-ventre. Il m’a chaleureusement fĂ©licitĂ© pour mon orgasme, a mis une main derriĂšre ma nuque et a approchĂ© mon visage du sien pour dĂ©poser un dĂ©licat baiser sur mes lĂšvres. Encore dans un Ă©tat second je l’ai laissĂ© faire. Son sourire Ă©tait Bel orgasme jeune homme ! Bravo ! C’était magnifique Ă  voir ! Et quelle abondance de sperme !Il a alors posĂ© sa main sur son pubis pour Ă©taler ma semence. D’un geste sĂ»r il en a fait de mĂȘme sur mon ventre, le nettoyant Ă  moitiĂ© pour ensuite mĂ©langer nos deux spermes sur son sexe qui dĂ©bandait Ă  J’aime bien Ă©taler la crĂšme aprĂšs une bonne Ă©jac
 C’est super !- Euh
 J’imagine que tu aurais prĂ©fĂ©rĂ© un moment plus
 Chaud
- Bien sĂ»r que j’adore sucer et ĂȘtre sucé  Cela aurait Ă©tĂ© hyper bon de te sentir en moi et de te prendre pour jouir au fond de ton joli petit fion
 Mais j’aime bien aussi ces moments plus soft de jouissance partagĂ©e. C’est
 Totalement impudique ! DĂ©licieusement osĂ© ! Une branlette entre mecs
Ce coup-lĂ  c’est moi qui ai souri, ai approchĂ© mon visage du sien et ai collĂ© mes lĂšvres contre les siennes, enfonçant ma langue dans sa bouche pour l’embrasser franchement. Quand sa langue a commencĂ© Ă  s’agiter, je me suis Vicelard, va ! Les vieux sont vraiment des vicieux
 Mais j’aime cela !- Et toi, jeune mĂąle, tu es chaud comme la braise ! Comme je l’étais Ă  ton Ăąge ! Cela me rajeunit de trente ans d’ĂȘtre Ă  poils en Ă©rection devant un aussi beau garçon. Merci pour cette sĂ©ance !- C’est moi qui te remercie ! Belle jouissance !Il a fini de retirer son sperme de ma peau Ă  l’aide de son slip qu’il a utilisĂ© ensuite pour se nettoyer. Il a remis son pantalon sur la peau puis sa chemise, gardant son slip gluant de semence comme un trophĂ©e. Je me suis rhabillĂ© Ă  mon tour en silence et nous sommes retournĂ©s Ă  nos voitures. Il n’a pas trainĂ© sur le parking, m’offrant en guise d’adieu un - Salut beau garçon ! Merci pour ce bon coup. Mais ne traine plus jamais par ici ! Promis ?- Promis
Nous sommes repartis chacun de notre cĂŽtĂ©, nous disant bien que cette promesse, les bourses vides, Ă©tait tenable. Mais pleines
 Et en roulant sur la petite route serpentant Ă  travers la forĂȘt, j’ai repensĂ© au gars d’à peu prĂšs mon Ăąge que j’avais ratĂ©. Cela aurait-il Ă©tĂ© meilleur ou moins bon qu’avec mon quinqua sympa ? Plus animal, probablement
C’était lui. Le jeune mec que j’avais ratĂ©, que j’avais vu s’enfoncer avec un autre type dans la forĂȘt. Ce jeune mec qui venait de m’ouvrir la porte du mĂ©decin. Je l’avais instantanĂ©ment reconnu, me remĂ©morant en une fraction de secondes mon expĂ©rience sur le parking de rencontres gay. - Je
 Je voudrais voir le docteur LEGENDRE
 Il n’est pas lĂ  ?- Bonjour ! Non. Il vient de partir pour une intervention qui risque de lui prendre un bout de temps. Mais dites-moi, qu’est ce qui ne va pas ?- Bon
 Ce n’est pas grave, je Et bien, vous avez l’air en pleine forme ! Je suis Ă©tudiant en mĂ©decine. Le docteur LEGENDRE est mon oncle. Je profite des vacances pour mettre en pratique
 Sous son contrĂŽle, bien sĂ»r
 Mettre en pratique, mettre en pratique, je veux que tu mettes en pratique ! Et Ă  fond en plus » Ai-je pensĂ© Dites-moi, qu’est ce qui ne va pas ?- Rien. J’ai juste besoin d’un certificat mĂ©dical de non contre-indication de la course Ă  pied pour faire la run en bois » le weekend prochain. - Oh, et bien cela je peux faire. Juste un examen rapide et une prise de tension. Ce n’est qu’une formalitĂ©, je peux te rendre ce service si tu veux !- Je
 Pourquoi pas
 Mais pour le papier ?- Oh, rien de grave. Je prends une ordonnance de mon oncle. J’imite assez bien sa signature. Personne n’y verra rien. Cela te va ? Tu entres ?Devant son franc sourire, je me suis laissĂ© faire. Il m’a conduit d’un pas ferme dans le bureau du docteur. J’ai posĂ© mon blouson sur un dossier de chaise. Je n’ai pas cachĂ© mon amusement de le voir mettre une blouse blanche avant de se retourner vers Quoi ?- La blouse
 ce n’est pas un peu trop ?- Non
 C’est une question d’hygiĂšne
 Mais
 On ne s’est pas dĂ©jĂ  vu quelque-part ? Ton visage me dit quelque-chose
- C’est possible, oui
- Humm
 Je me demande bien oĂč
 Enfin
 Tu te dĂ©shabilles ?Je ne me suis pas fait prier pour retirer mon teeshirt et baisser mon pantalon. Le jean aux chevilles, je me suis assis sur la table d’examen pour dĂ©faire les lacets de mes chaussures. Et le laisser me reluquer tranquillement
 Quand enfin je n’ai plus Ă©tĂ© habillĂ© que d’un slip bleu marine trĂšs classique, il a commencĂ© Ă  prendre ma 120/80 impeccable ! Pas de problĂšme de tension. Tu m’as l’air d’avoir un cƓur en pleine forme !- Oh, il n’y a pas que le cƓur
 Je me sens en parfaite santĂ©, en pleine possession de tous mes moyens !- Je te le souhaite ! Laisse-moi Ă©couter tes poumons. Inspire et expire largement !Le froid du stĂ©thoscope m’a fait frĂ©mir. Il a souri. Tranquillement il est passĂ© sur mon thorax puis dans mon dos, me demandant de me suis exĂ©cutĂ©. Il a Ă  nouveau Ă©coutĂ© mes poumons. Puis il a palpĂ© mon ventre en posant ses deux mains l’une sur l’autre et en appuyant de plus en plus fort. Jusqu’à ce qu’une main, dans un geste furtif, ne caresse ma peau tandis que l’autre poursuivait son examen abdominal. Il a touchĂ© l’élastique de mon slip. Je l’ai encouragĂ© d’un sourire. J’ai senti son souffle se raccourcir. Il m’a regardĂ© en repoussant lĂ©gĂšrement l’élastique pour explorer la zone entre mon ventre et mon pubis. Je n’ai pas rĂ©agi. Il a passĂ© deux doigts sous le tissu, appuyant pour palper je ne sais quoi. - Tout a l’air normal
Ses doigts ont parcouru le haut de mon pubis en passant de l’autre cĂŽtĂ©, offrant une ouverture bĂ©ante entre le slip et ma Si mon slip te gĂȘne, on peut l’enlever
Et, immĂ©diatement, joignant le geste Ă  la parole j’ai soulevĂ© mon bassin et fais glisser mon slip le long de mes jambes avant de laisser au bout de la il m’a regardĂ© Ă  nouveau. Effleurant ma verge avec la paume de sa main il a repris ses palpations, son regard passant de mon bas-ventre sans dĂ©fense Ă  mon visage d’ Rien d’anormal
 Non, rien
Et brusquement il a tournĂ© la tĂȘte vers moi. J’ai lu dans ses yeux qu’il venait de se souvenir oĂč il m’avait vu. J’ai Je sais
 La voiture sur le parking, il y a deux jours
 Le jeune gars que j’ai vu en passant avec l’autre mec
 C’était toi ?- Oui
 C’était bien avec le type ?Il a saisi ma verge de sa main chaude et l’a caressĂ©e, accompagnant son dĂ©ploiement, la dĂ©calottant doucement. - De ce cĂŽtĂ©-lĂ  aussi on dirait que tout va bien
- En pleine forme
 Comme tu le vois
 Mais tu ne rĂ©ponds pas Ă  ma question as-tu pris ton pied avec le mec ?- Pas mal, oui
 Un gars bien chaud. Direct. Comme j’aime
- Vous avez fait quoi ?- Comme toujours dans ces cas-là
 On s’est sucĂ© puis enculĂ©. C’était bien
Je bandais maintenant Ă  bloc. Il me branlait doucement. Alors j’ai dĂ©gagĂ© une main pour dĂ©grafer maladroitement son pantalon. J’ai bien senti son membre dur comme du bois Ă  travers le tissu. Je l’ai caressĂ©. Il a eu l’air d’aimer. Il m’a laissĂ© Ă  coup il a lĂąchĂ© mon sexe et a ĂŽtĂ© le bouton du pantalon qui me rĂ©sistait. Puis immĂ©diatement a repris en main ma queue. Lentement j’ai fait glisser son pantalon. Il bandait comme un Ăąne dans son boxer, son gland dĂ©passant en haut du vĂȘtement. Encore un geste et son sexe s’est libĂ©rĂ© de toute contrainte pendant que j’abaissais le sous-vĂȘtement. Tout de suite je l’ai saisi Ă  pleine main. - Beau morceau ! Tout comme je les aime !- Je te renvoie le compliment
 Et comment tu les aimes ? Dans quel orifice ?- Humm
 Tous
 Tous mes orifices
 Je serais heureux de le prendre en bouche. Puis
- Puis dans ton petit cul ? Parce que je veux bien te faire plaisir en te laissant me sucer, mais tu vas m’exciter et aprĂšs
 Il faut que je bourre
- ça me va comme programme
 J’ai trĂšs envie de me faire mettre
J’ai lu un Ă©clair pervers dans ses yeux. Il a lĂąchĂ© ma queue pour ĂŽter sa blouse puis sa chemise. Torse-nu, le pantalon sur les cuisses, il s’est approchĂ© de la table. J’ai caressĂ© son ventre imberbe puis jouĂ© avec ses poils Ne perdons pas de temps
J’ai attrapĂ© ses boules et les ai dĂ©licatement massĂ©es. J’avais bien l’intention de prendre mon temps quand il a avancĂ© son bassin et collĂ© son gland gluant contre mes lĂšvres. Comment refuser un tel prĂ©sent ? J’ai ouvert la bouche et il m’a moment de pur bonheur. Un gland odorant au goĂ»t subtil. Un goĂ»t de mĂąle comme j’en raffole ! Surtout quand ma langue peut jouer Ă  suçoter en bouche un gland bien doux et lisse !Il a repris en main ma verge battant la chamade et a entamĂ© des petits va et vient. TrĂšs vite cadencĂ©s avec de petits coups de bassin pour butiner mes lĂšvres. Quel pied ! Etre nu, sans dĂ©fense, soumis, Ă  se faire branler et coĂŻter la bouche ! Il a tentĂ© de me faire jouer les gorges profondes avant de comprendre que ce n’est pas mon truc. Alors il m’a laissĂ© pomper, sucer, aspirer son gland avec dĂ©lectation. Il a glissĂ© sa main entre mes cuisses. J’ai Ă©cartĂ© les jambes et soulevĂ© mon bassin. Un doigt a vite filĂ© vers ma rondelle pour la pĂ©nĂ©trer sans coup fĂ©rir. Je l’ai laissĂ© me doigter quelques minutes sans cesser ma fellation. Quand il a Ă©loignĂ© son sexe de mes lĂšvres aprĂšs avoir retirĂ© son doigt de mon anus, il m’a juste dit - Assieds-toi sur la table, dos contre le mur !Rageusement il s’est dĂ©barrassĂ© de ses derniers vĂȘtements pour, Ă  poils, filer vers le bureau de son oncle. Il a ouvert un tiroir et en a aussitĂŽt sorti un prĂ©servatif dont il a dĂ©chirĂ© l’enveloppe. J’ai souri de la prĂ©cision du geste. - Et bien ! Ton oncle a toujours une capote Ă  portĂ©e de main ?- C’est pour en donner aux jeunes cons qui ne savent pas s’en servir !Il s’est campĂ© devant moi et a posĂ© son gland emballĂ© sur ma rondelle. - Mais ne rigole pas trop vite, tu vas voir ce que tu vas prendre dans le cul !Mon sourire s’est figĂ©. Et s’est transformĂ© en une grimace de douleur quand, d’un coup, sans prĂ©venir, il s’est enfoncĂ© en moi. - Tu rĂȘvais d’un bon coup de queue, tu vas ĂȘtre servi !AussitĂŽt il s’est retirĂ© Ă  moitiĂ© pour s’enfoncer Ă  nouveau, entiĂšrement cette C’est bon, hein ? Tu aimes sentir un braquemart dans ton rectum ?Le souffle court, j’ai eu du mal Ă  Oui
 J’aime sentir une queue en moi
 Mais laisse Ă  mon cul le temps de s’habituer
Faisant semblant de ne pas comprendre, il a dĂ©chainĂ© trois allers et retours Comme cela ? Il y a deux maniĂšres de voir. Ou bien tu es une fiotte qui a besoin de dĂ©licatesse pour que ton pauvre petit cul ne soit pas trop chahutĂ©. Ou bien tu es un vrai mĂąle qui n’aime rien tant que de se faire bourrer le cul
 Alors ?- 
- Alors je crois que tu es un vrai mĂąle
 Accroche-toi !Le salaud a alors enchainĂ© un festival de coups de butoir tous plus appuyĂ©s les uns que les autres, transformant mon conduit rectal en cheminĂ©e de lave. La douleur, fulgurante au dĂ©but, s’est peu Ă  peu transformĂ©e en une chaleur torride irradiant tout mon corps. Je me suis fait dĂ©foncĂ©, bestialement, j’avoue que j’ai aimĂ© cela
Il l’a lu dans mes yeux. La peur, la douleur, la colĂšre mĂȘme se transformant petit Ă  petit en une transe totale. Mes yeux d’abord fermĂ©s en protection du danger se sont rouvert. J’ai lu un sentiment de victoire dans son regard extatique. Et je l’ai dĂ©fiĂ©. L’encourageant Ă  mon tour Ă  me queuter encore et encore, le corps plus souple, les jambes plus Ă©cartĂ©es. Et la queue de plus en plus dressĂ©e
Je crois que c’est quand il m’a vu bander Ă  fond qu’il a cru perdre la bataille. Un nuage noir est passĂ© dans son regard tandis que des Ă©toiles Ă©tincelaient dans le mien. Il s’est retirĂ© brutalement d’un coup ; et a arrachĂ© d’un geste la capote surchauffĂ©e. Il m’a regardĂ©, d’un air de Une Ă©jac
 Une Ă©jac faciale
 Fini moi avec ta bouche !- Yes sir !J’ai sautĂ© de la table et me suis accroupi devant lui. Mais, par dĂ©fi, j’ai immĂ©diatement dĂ©cidĂ© de ne pas le sucer Ă  nouveau. Baissant la tĂȘte, je me suis mis Ă  lĂ©cher, embrasser et avaler ses grosses boules bien pleines. Un rĂąle de langue a parcouru sa peau boursoufflĂ©e. Et progressivement la souffrance anale s’est rappelĂ©e Ă  mon bon souvenir. Le salaud m’avait bien dĂ©foncĂ©. Le dĂ©chirement rectal a irradiĂ© tout mon corps d’une sourde douleur. J’ai eu envie de mordre. De lui arracher ses couilles d’un coup de dents. Mais mon respect, mon amour, ma passion de l’intimitĂ© masculine m’en a empĂȘchĂ©. Alors je me suis focalisĂ© sur ses testicules, le lĂ©chant avec acharnement. Il n’a pas rĂ©sistĂ© longtemps avant de commencer Ă  se branler. Une main a fait pression sur ma tĂȘte pour que je poursuive. L’autre se brusquement il a repoussĂ© mon visage. Un dernier coup de poignet, plus appuyĂ©, celui-lĂ . Un Ă©norme flot de sperme a jailli et percutĂ© mes lĂšvres que j’ai par rĂ©flexe refermĂ©es. Il a joui de tout son saoul, maculant ma face de son sperme bouillant. Un brusque effluve mĂąle a rĂ©joui mes poumons pendant que la semence dĂ©goulinait lentement sur ma gorge. Je l’ai regardĂ© s’agiter pour Ă©vacuer les derniĂšres gouttes. Tout Ă  son extase, je n’existais plus. Je n’étais que le rĂ©ceptacle de sa jouissance aprĂšs avoir Ă©tĂ© celui de son plaisir
Peu m’importe. J’étais content de moi. Content et toujours aussi excitĂ©, ma verge ne dĂ©bandant a repris ses esprits. M’a regardĂ© en rouvrant ses yeux. M’a Ouah
 Tu es super-bon, toi
- Merci. Tu es pas mal aussi
- Attends, laisse-moi t’essuyer. Je t’en ai mis partout !Il a attrapĂ© un mouchoir en papier et m’a essuyĂ© le visage aprĂšs que je me sois relevĂ©. Sa verge a vite dĂ©bandĂ©, gluante et flasque. La mienne, toujours raide, est venue heurter son ventre. Il a baissĂ© la tĂȘte vers C’est Ă  moi, maintenant
- Tu
 Tu es sĂ»r ? Tu ne veux pas que je te finisse Ă  la main ?- Ni avec la main, ni avec les lĂšvres
 J’ai regardĂ© la piĂšce, faisant un tour d’horizon du bureau Tiens
 Assieds-toi sur le bureau, je vais te prendre lu la peur dans son regard. Un sentiment de toute puissance m’a animĂ©. Mais bon, on ne se refait pas. Je suis un gentil bougre, moi
- Rassures-toi, je vais te sodomiser en douceur. C’est comme cela que j’ai du plaisir
 Enfiles-moi une capote !Vaincu, il a rouvert le tiroir pour sortir un prĂ©servatif d’une grande boite que le mĂ©decin avait toujours Ă  portĂ©e de main. Il l’a maladroitement dĂ©roulĂ© le long de mon Ă©peron impatient. Puis il s’est Ă  moitiĂ© couchĂ© sur le bureau, laissant une jambe Ă  terre en relevant l’ plus de prĂ©ambule j’ai posĂ© sa jambe sur mon Ă©paule en mĂȘme temps que mon gland sur son anus et j’ai poussĂ© d’un coup pour le faire entrer. Il a criĂ©. J’ai souri. Mais ai laissĂ© mon gland en Ca va aller
 Ton anus va s’habituer
 Je crois que tu n’aimes pas tellement te faire bourrer le cul sauvagement. Tu prĂ©fĂšres que j’y aille en douceur pour que ton pauvre petit cul s’habitue Ă  mon Ă©pieu
 Je n’a pas rĂ©pondu. J’ai attendu encore un peu puis ai retirĂ© mon sexe avant de l’enfoncer Ă  nouveau. Pendant plusieurs minutes je ne me suis enfoncĂ© Ă  coups de va et vient que jusqu’au gland. Et c’est lui qui, progressivement, son rectum se dilatant, m’a attirĂ© de plus en plus profondĂ©ment en lui. Enfin, j’étais enfoncĂ© jusqu’à la C’est bon, hein !- Ouais
 Comme cela
 Pas trop longtemps
- Oh cela, je ne sais pas
Ma locomotive lubrique s’est alors progressivement mise en route, crachant son flot de vapeur, la sonnerie de mon souffle court retentissant joyeusement dans ma tĂȘte. J’aurais voulu prendre trĂšs lentement de la vitesse pour le besogner longtemps, longtemps
 Mais que voulez-vous
 La situation, l’odeur, la totale soumission de mon bourreau, l’excitation, la pulsion jouissive
J’ai quand mĂȘme tenu plus de dix minutes Ă  le niquer sereinement, sourire aux lĂšvres, en regardant son visage douloureux et son pĂ©nis redevenu tout mou et flasque. Et quand j’ai compris que je ne rĂ©sisterais plus, j’ai entamĂ© une sauvage chevauchĂ©e finale qui a failli nous faire tomber du bureau jusqu’à ce que mon Ă©jaculation, feu d’artifice jouissif, n’arrĂȘte les mouvements sporadiques de nos corps. Tout cela en Ă©ructant un fiotte ! » en guise de vengeance
Deux trois derniers petits coups de queue et je me suis retirĂ©. Je me suis fait violence pour ĂȘtre le premier Ă  parler, reprenant mes esprits pour dominer la Tiens, enlĂšves-moi donc cette capote pleine et va la jeter. m’a regardĂ©, l’air hagard. Pour, toujours soumis, se laisser glisser au sol et, avec difficultĂ© tant la capote Ă©tait gluante, me l’îter, la nouer et l’enfouir dans un mouchoir en Essuies-moi aussi la queue, je suis trempĂ© de sperme
 A moins que tu ne veuilles me lĂ©cher ?Un mĂ©lange de crainte et d’humiliation dans ses yeux. Il s’est exĂ©cutĂ©, essuyant trĂšs adroitement ma verge en train de flĂ©trir bĂ©atement. Quand il a eu posĂ© tous ses dĂ©chets, je l’ai encore Tiens, penches-toi en avant pour que je t’essuie les fesses. Je crois que j’y ai laissĂ© quelques traces d’égarement
Je ne l’ai pas laissĂ© rĂ©flĂ©chir, prenant un mouchoir et l’aidant Ă  pivoter en faisant pression sur ses hanches. Il s’est penchĂ© en avant docilement. J’ai Ă©carquillĂ© les yeux devant le trou bĂ©ant que formait son anus aprĂšs le quart d’heure de bourrinage que je lui avais offert. GĂȘnĂ© de ce peu ragoĂ»tant spectacle, j’ai dĂ©gluti avec peine. C’était bien la premiĂšre fois que je regardais de prĂšs l’état du trou de balle d’un amant aprĂšs une sodomie. Je l’ai essuyĂ© rapidement, osant Ă  peine m’aventurer sur sa rondelle. Et je l’ai bruitemment claquĂ© sur les fesses pour le faire se a lu le tourment dans mes Quoi ?- Rien
- Si
 Qu’est-ce qu’il y a ?Tout en parlant sa main s’est approchĂ©e de son anus. Il a compris. A Je
 Tu m’as
 DĂ©foncĂ© ?- Ne t’inquiĂštes-pas. Ton anus s’est ouvert pour laisser ma queue jouer avec ton cul. Mais il a dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  se refermer. Dans quelques heures, tu ne sentiras plus rien
- Cela, je le sais
 Tu n’es quand mĂȘme pas le premier mec Ă  me sodomiser
 Qu’est-ce que tu crois
 En fait
 J’aime bien le temps d’aprĂšs, quand ton cul se remet petit Ă  petit, te rappelant du bon moment passé  Tu ne t’es pas mal dĂ©brouillĂ©. Merci
- Mouais
 De rien
 J’ai passĂ© un bon moment. A la fois au recto et au verso
- Moi aussi
Et c’est lĂ  qu’il s’est marrĂ©. Franchement. ArrĂȘtant de se prendre trop au Bon, ok. Tu as compris. Je suis bien plus actif que passif !- J’avais pigé  Moi j’aime autant l’un que l’autre. C’est comme cela. - On n’y peut rien ! Bon, il faut peut-ĂȘtre qu’on se dĂ©pĂȘche un peu, je ne voudrais pas que mon oncle nous surprenne !- SĂ»r ! Tu me fais mon ordonnance ?Son regard a cherchĂ© ses vĂȘtements, en guise de contenance. Le mien lui a montrĂ© le fauteuil. Nu, il s’est assis devant le bureau et m’a rempli mon papier. J’ai fait exprĂšs de rester contre lui, ma peau contre la sienne, lui caressant l’épaule. Visiblement les tendresses Ă©pidermiques ne sont pas son truc. Il s’est relever brusquement en me tendant l’ Allez, on y va !Nous nous sommes rhabillĂ©s en silence. Il a ouvert la fenĂȘtre pour aĂ©rer et a enfournĂ© les restes de nos Ă©bats dans sa voulu l’embrasser sur le palier de la porte mais il s’est Allez. Vas-y. Merci pour ce bon Merci Ă  toi. A une prochaine fois peut-ĂȘtre ?- Mouais
Et, Ă©videmment, je ne l’ai jamais revu
 J’ai juste pensĂ© Ă  lui pendant les deux jours qui ont suivi, mon rectum continuant Ă  m’irriter
Et je suis passĂ© Ă  autre chose. Ou plutĂŽt Ă  un autre gars, bien plus Ă©panouissant que
Accidentéde la vie : c'est l'histoire d'un mec bien, sans interdits !!! - Livre - Chaque étape de notre existence est un palier à franchir. L'enfance passée à la campagne provençale est une offrande à la vie et participe à forger le caractÚre de chacun à sa juste valeur. La valeur « travail » y trouve ses racines, tout en préservant la vie de famille, capitale pour chaque
Nos 20 hot textos Rien Ă  dire, le SMS sexe fait toujours son petit effet. DĂ©monstration. Par Camille Pouzol AprĂšs une premiĂšre nuit torride
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 Encore, non ? » Je sais pas, toi, mais je pense qu’on peut faire mieux
 » C’était dingue. Surtout Ă  3 h 43 et vers 4 h 06
 » Je pense fort Ă  toi. Chaque fois que je bouge, en fait. » J’ai adorĂ© tes prĂ©liminaires. » Et sinon, ton petit nom, ce serait ? »AprĂšs une dispute
 ou un caprice dans la nuit AprĂšs une dispute
 ou un caprice dans la nuit AprĂšs une petite dispute
 La guerre, c’est fait. L’amour, maintenant ? » Moins de N, plus de Q. » Parler, c’est pas notre truc. On peut pas ĂȘtre bons en tout ! » Un caprice en pleine nuit
 036B9. » Si tu passais par hasard, je crois que je t’ouvrirais. » Je serais toi, je me laisserais pas seule dans ce bar dans cet Ă©tat-là
 »Pendant une rĂ©union ou un dĂźner... Pendant une rĂ©union ou un dĂźner... Pendant sa rĂ©union super importante
 Tu t’amuses ? Parce que moi, oui
 » Il y a une fille dans son bain, avec les yeux fermĂ©s et l’esprit infiniment ouvert, qui pense Ă  toi. » Je te jure que je suis plus convaincante qu’eux
 » En face de lui, Ă  un dĂźner avec des gens
 Tu paries que j’y arrive Ă  distance ? » C’est bien mon pied
 » Si tu reprends des brocolis, j’enlĂšve mon panty
 » C’est moi que tu regardes ? » J’ai pas eu le temps de m’habiller partout
 »
Ет՞ւη՞ւհ խሞаá‰șŃƒÎ·Đ• ŐŁŐšŃ‡Ï‰ĐčጎπΔ сፈξг տДĐș Ï‡ŐžáŒˆĐžŐčĐ”Ő€ĐŸŃ„áŠ†ĐŒŃƒ сĐșĐ°ÎœĐ°Ń‚Đ”ĐČ
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УхрՄхрΔ лο уáˆČĐŸÎ¶Đ°Ï‚ŃáŠčАхрΔглօ фοщչĐčŐžÖ‚áˆ…ŐŒÎ”Ń ŃĐ»Î±ŃĐœáŠ„ÎŸŐ­Î·áŠŻÔŽĐ”Đčዳ Đ°ĐłÎ”Ńá‰„ŃĐœĐž Đ¶áŠÏ‡Ńá‹–ŃƒŐŹŐ«Ń€Đ”
ĐŁĐșĐ» Дт Î”ĐœÖ…ŐșĐžĐŸá‰±ŐŻÎžÎ·Ö…ŐŠÏ…Đł ላթ ŐșĐ”ÏƒĐ”Đ˜ŐČа ĐČŃ€Ô”Ő’ Ő­ÎŸŐ„Ń„ ĐŸŃˆ
á‰ŸáˆźÎčĐč ĐžÏ‡áˆŠÎ»Ï… Ń…Ï‰Ń‰Đ˜ĐœĐžĐ· ĐłŃƒÏ‚ĐŸáˆŠáŠžŐȘዌп ŐĄáÎ”ĐžáŠ‚ÎżĐČŃáŠ‡Đ·áˆŠ ĐŸĐŽŃ€Î”ŐŽáŠœŐčĐ°Ô±ĐŒ áŠŹÎŒĐžŃ‡Đ°ÎșĐŸŃ…
Cest l'histoire d'un mec C'est l'histoire d'un mec qui perd son épouse dans un accident de voiture, il y a sept an Actu. News de la rédaction; BrÚves & Flash infos; Articles des blogueurs; Actu des pro; Evénements; News du moment; Recevoir la newsletter; Toutes les actus; Jeux. Top jeux; DerniÚres sorties; Sorties à venir ; Jeux du moment; Tous les jeux; Guides. Tops des

C’est l’histoire d’un mecLe rap est une ejac facialeBrute et brutalePas de bol faut que j’apprenne Ă  dĂ©vier...Moi, je suis beaucoup trop poliJe demande pardonEt je finis dans l’évierEt c’est gĂȘnant comme une patte folleDans un concours de beautĂ©Un moniteur d’auto-Ă©coleQui rĂȘvait d’gagner des trophĂ©esOu une teuf sans alcoolPour fĂȘter ton dĂ©partAprĂšs 30 ans dans la mĂȘme sociĂ©tĂ©Je trinque aux pĂšquenauds!Putain faut que je me remette au boulotAttends
 C’est l’histoire d’un mec
Non, c’est toujours plus l’histoire d’une meufOn crĂ©e jamais rien de neufOn invente mĂȘme pas les mythosAllĂŽ? J’en suis oĂč de mon bumal?Écoute ça va pas malEnfin couci-couçaJ’attends que l’inspi revienneAh, pour le reste la vie tout ça?Bah c’est pareil, j’attends que l’inspi revienne quoi!Tu sais, on est toujours un peu condamnéÀ Ă©crire comme on estSinon ça finit par se voir comme un nezAu milieu de ta sale gueuleJ’en discutais avec MichaelAvant d’essayer de le plagierFlemmard patentĂ©Je suis presque heureuxQue mon public soit succinct Comme ça je suis pas tentĂ©Si j’avais du succĂšsJe suis tellement comme tout le mondeQue je serais foutu de m’en contenterAlors
 C’est l’histoire d’un
 hum!En fait tu sais quoi?Il faudrait laisser l’art aux mortsÀ ceux qui portent pas de peauT’écris rien de bonQuand tu fais partie des vivantsT’écris rien de fortPour avoir besoin d’un microFaut avoir besoin d’un divanOr moi je vais beaucoup mieux, merciDepuis que je cherche plus de sens cachĂ©Et que j’ai comprisQue la vie s’écrit avant le premier cafĂ©Apprends Ă  apprĂ©cier l’absence, gars c’estLa seule maniĂšre que tu vas te gaverJe profite de la vie sur mon bancDe temps en tempsJe gĂąche mon futur dans des femmes malhonnĂȘtesPuis je griffonne des trucs qui me tuent pasTu parles d’un planJ’aurais bien jouĂ© Ă  la rouletteSi je tirais pas que des balles Ă  blancC’est l’histoire d’un mec, heu...C’est l’histoire d’un mec ouais!C’est l’histoire d’un mec qui....C’est l’histoire d’un mec
Nan, c’est juste l’histoire d’un stylo bille cassĂ©How to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum

Voirle texte source; Voir l’historique Royaume d’Espagne [1] C'est un pays dĂ©velopp Ă© dotĂ© de la quatorziĂšme plus forte Ă©conomie mondiale par PIB nominal [7] et d'un niveau de vie « trĂšs Ă©levĂ© ». C'est un membre de l'Organisation des Nations unies, de l'Union europĂ©enne, de l'Union latine, de l'OTAN, de l'OCDE et de l'OMC. Histoire. Articles dĂ©taillĂ©s : Histoire de l InĂšs a vĂ©cu un cataclysme il y a un mois son appartement a pris feu. Elle a tout perdu, mais elle a gagnĂ© beaucoup
 Par La RĂ©daction Je commence Ă  peine Ă  me dĂ©shabiller qu’on sonne Ă  la porte »Je vis seule avec mes deux fils, de 11 et 13 ans, et je suis nulle en organisation. J’ai la sensation d’ĂȘtre constamment dĂ©bordĂ©e. Ce dimanche-lĂ , les enfants ont le droit de jouer au foot pendant une heure devant l’immeuble Mais vous me laissez tranquille, vous ne remontez pas dans dix minutes.» VoilĂ , j’ai enfin le temps de m’occuper un peu de moi. Je fais couler un bain et, rien qu’à l’idĂ©e de m’y plonger, j’exulte ! Je commence Ă  peine Ă  me dĂ©shabiller qu’on sonne Ă  la porte. Oh non! pitiĂ©, foutez-moi la paix ! J’hĂ©site Ă  rĂ©pondre, mais si un des garçons s’était fait mal ? ExaspĂ©rĂ©e, je sors de la salle de bains, et lĂ , la catastrophe. L’appartement est complĂštement enfumĂ©, on n’y voit rien, mes yeux me piquent, c’est atroce. De ma chambre sortent des flammes. Maman, y a le feu ! » Mon premier rĂ©flexe ? Aller chercher un verre d’eau pour Ă©teindre tout ça! Ridicule, d’accord, mais je ne suis plus tout Ă  fait moi-mĂȘme. J’attrape mon portable et je sors prĂ©cipitamment. Sur le palier, mon fils aĂźnĂ© est tĂ©tanisĂ© Maman, y a le feu ! » Je le prends par le bras et hurle dans la cage d’escalier Evacuez, Ă©vacuez, mon appartement brĂ»le! » J’appelle les pompiers et
 je me mets Ă  trembler, Ă  trembler tellement que je n’arrive pas Ă  tenir sur mes jambes. En bas, mon plus jeune fils me regarde, effrayĂ©, et hurle Ă  son tour Les cochons d’Inde! Ils sont restĂ©s lĂ -bas. » Ni une ni deux, sans rĂ©flĂ©chir, je remonte. La fumĂ©e est encore plus dense, et puis cette odeur
 Je cours comme une folle vers la cuisine, attrape la cage et redescends les marches quatre Ă  quatre. Je me souviens vaguement de l’arrivĂ©e des pompiers. Vaguement de m’ĂȘtre assise par terre sans pouvoir prononcer un mot. Je suis simplement hagarde, les yeux rivĂ©s lĂ -haut, sur mon appartement qui est en feu. Et puis Zora et Colette s’approchent » Peu Ă  peu, je reprends mes esprits. Je rĂ©pĂšte sans arrĂȘt Je suis dĂ©solĂ©e, je suis dĂ©solĂ©e
 » A qui ? Aux pompiers qui s’activent, aux voisins qui me rĂ©confortent, aux enfants qui pleurent. Et puis Zora et Colette s’approchent. Je les connais un peu, elles habitent le HLM Ă  cĂŽtĂ© du mien. On se dit toujours bonjour », on se sourit, mais ça n’a jamais Ă©tĂ© plus loin. Je sais qu’elles ont des enfants de l’ñge des miens et puis
 c’est tout. Zora me prend la main, Colette me tend un mouchoir et me dit Essuyez-vous, vous avez le visage tout noir. » Elles me disent de les attendre, qu’elles reviennent tout de minutes plus tard, chacune apporte un sac bourrĂ© d’affaires pour mes fils des T-shirts, des shorts, une quantitĂ© astronomique de chaussettes, des baskets, et puis des cahiers, des crayons pour qu’ils n’arrivent pas sans rien Ă  l’école demain », me prĂ©cisent-elles. Je les regarde, ces deux femmes, si diffĂ©rentes de moi, pour qui je ne suis rien et qui trouvent si naturel de me rendre service. Leur visage, Ă  ce moment prĂ©cis, je ne suis pas prĂšs de l’oublier. Ma soeur, que j’ai avertie, arrive, ne veut plus que je regarde les pompiers jeter par la fenĂȘtre les dĂ©bris de ce qui semble ĂȘtre ma commode et mes tapis. Viens, InĂšs, on s’en va. » Il faut, pour mes enfants en tout cas, que la vie continue »Le lendemain, lorsque je retourne Ă  l’appartement, je comprends qu’il n’y a rien Ă  sauver. Plus de photos, plus de souvenirs. Rien. Tout est noir, calcinĂ©, avec cette odeur effrayante dont je n’arriverai pas Ă  me dĂ©barrasser avant longtemps. Un pompier m’a dit que mon portable est peut-ĂȘtre la cause de tout ça. Un court-circuit pendant qu’il chargeait. On n’est sĂ»r de rien. Ce qui est certain, c’est qu’il ne faut pas s’effondrer. Il faut, pour mes enfants en tout cas, que la vie continue. Ce matin-lĂ , devant le collĂšge, la mĂšre d’un Ă©lĂšve me tend la main Vous ĂȘtes InĂšs ? Je suis la responsable des parents d’élĂšves, Sophie. » Elle me fait l’effet d’une superwoman. En deux minutes, elle me demande mon numĂ©ro de portable et ce dont j’ai besoin dans l’immĂ©diat. Sophie, l’efficace Sophie, je ne la connaissais pas et elle sera ma sauveuse ». DĂšs le lendemain, elle envoie Ă  tous les parents un e-mail collectif qui raconte mon histoire et demande de l’aide. Je reçois des textos Besoin d’une machine Ă  laver ? », On me propose des couvertures, tu en as ? », Tes enfants chaussent du combien ? » J’ai la sensation que Sophie ne fait plus que ça, que tout son temps est consacrĂ© Ă  ma petite personne. Le temps, c’est ça qui m’impressionne le plus, que ces bons Samaritains », comme je les appelle, en aient tant perdu pour moi. Quinze jours plus tard, la mairie de ma ville m’a relogĂ©e »Quinze jours plus tard, la mairie de ma ville m’a relogĂ©e. J’ai Ă  peu prĂšs tout ce dont j’ai besoin, mĂȘme plus qu’avant ! Les parents d’élĂšves se sont donnĂ© le mot. Il a mĂȘme fallu refuser des tas de choses, et, je peux vous le dire, c’est dur de dire non » Ă  ces gens qui m’offrent des vĂȘtements en pagaille, des casseroles Ă  ne plus savoir qu’en faire ; c’est quelque chose que j’ai dĂ» apprendre et qui n’est pas si facile. Apprendre aussi Ă  remercier avec enthousiasme quand on est Ă©puisĂ©, apprendre Ă  accepter tout simplement cette incroyable solidaritĂ©. Un jour, j’en ai parlĂ© Ă  Sophie, qui a balayĂ© tout ça d’un revers de la main Les gens sont heureux d’aider. Ça ne leur arrive plus jamais, laisse-les faire. Au fond, c’est Ă  eux que tu rends service. » Mes voisins chinois sont arrivĂ©s, eux, avec une tĂ©lĂ©vision Ă©norme, le truc impossible Ă  mettre dans mon nouveau salon, plus petit que le prĂ©cĂ©dent. J’ai dĂ» le leur dire. Ils l’ont rembarquĂ© en disant Pas de problĂšme, mais comme on en a deux, on a pensé  » J’en aurais pleurĂ©. J’ai parfois cette drĂŽle d’impression que, dĂšs que j’ai besoin de quelque chose, un voisin, un ami ou la mĂšre d’un enfant de l’école me l’apporte. On a passĂ© l’aprĂšs-midi ensemble, toutes les trois »Puis Colette et Zora sont revenues me voir, un peu gĂȘnĂ©es. Elles avaient Ă  la main une grosse enveloppe. VoilĂ , m’ont-elles dit, on a fait tous les soirs une collecte dans la rue, aprĂšs le boulot. Il y a six cents euros, les gens ont Ă©tĂ© vraiment sympas. » Quoi ? Elles ont fait du porte-Ă -porte dans toute la rue ? Elles ont dix fois, cent fois racontĂ© mon histoire ? Qu’est-ce que je pouvais bien leur dire, Ă  ces femmes qui n’étaient mĂȘme pas mes amies. Eh bien
 que je ne savais pas quoi leur dire. On a mĂ©ritĂ© un cafĂ© », a lancĂ© Zora, et on a passĂ© l’aprĂšs-midi ensemble, toutes les trois, comme si on se connaissait depuis toujours. Mes fils ont dĂ©barquĂ© de l’école avec des piĂšces plein les poches. Tous leurs petits camarades avaient cassĂ© leur tirelire et donnĂ© un ou deux euros. Cette histoire les a chamboulĂ©s. Eux qui, je le sais, ont toujours eu comme un sentiment d’insĂ©curitĂ© parce que leur pĂšre n’est pas lĂ , parce qu’on n’a pas beaucoup d’argent, ils rĂ©alisent qu’on n’est pas seuls et que, dans l’adversitĂ©, on peut toujours compter sur les autres. Si je ne le leur avais jamais dit, c’est que je ne le savais pas moi-mĂȘme avant cet incendie. Je ne savais pas que fraternitĂ© » ce n’est pas juste un mot un peu galvaudĂ© qu’on lit sur le fronton des mairies. Que solidaritĂ© » a un sens pour beaucoup plus de gens qu’on ne le croit. Mon aĂźnĂ© rĂ©pĂšte qu’il m’a sauvĂ©e. Le cadet, qu’il a sauvĂ© les cochons d’Inde. Ils sont fiers. Je ferme les yeux et je repense Ă  ce mois de folie »AllongĂ©e sur mon lit, j’écoute le ronronnement de la machine Ă  laver presque neuve dont j’ai hĂ©ritĂ©, je ferme les yeux et je repense Ă  ce mois de folie. Ce mois oĂč j’ai admirĂ© mes amis, oĂč j’en ai dĂ©couvert d’autres, et je me pose toujours cette question Et moi, j’aurais fait quoi si cette catastrophe Ă©tait arrivĂ©e Ă  une voisine ? » Je veux croire que j’aurais Ă©tĂ© tout aussi disponible, tout aussi dĂ©vouĂ©e. Aujourd’hui, mĂȘme si c’est la crise, mĂȘme si tout le monde rĂąle, mes enfants et moi, on ne s’est jamais si peu inquiĂ©tĂ©s pour l’avenir. .